Atsuhiko Maï - Tout commence ici... C'est ça ?

Dernière édition par Atsuhiko Maï le Mar 6 Sep 2011 - 22:50, édité 8 fois

Maï Atsuhiko

(c) CRÉDIT - FICHE
about You ♥

19 ans ♣ Hétérosexuel ♣ Hors Pensionnat ~

Un petit quelque chose sur vous?
Aime : Être seul, écouter de la musique, dessiner au fusain, peindre des aquarelles, regarder les gens et la nature, courir, manger, le silence, l’ordre, sentir les rayons du soleil sur sa peau et son visage, les oiseaux, être sans contraintes ni obligations. Et aime Luna par dessus tout.
Déteste : Les homophobes, les racistes, les frimeurs, les branleurs, les lâches, la colère (visible), les pollueurs, qu’on lui dise ce qu’il doit faire.

3 Qualités 3 Défauts .
Protecteur. Digne de confiance. Extrêmement doué en dessin. Ne dis jamais ce qu'il ressent. Peut être blessant par sa franchise. Amoureux (ça peut être un défaut).

Quand je regarde dans un miroir, je vois...

... Je vois un mec bizarre. Mais ce n'est pas moi. Ce n'est pas moi que je vais décrire, c'est l'autre mec, derrière. celui assis, seul. C'est lui le mec chelou. D'après ce que je vois de lui, il est beau gosse. D'ailleurs, une bande de minettes l'observe. Elles rigolent, rougissent. Une s'avance, dépose un bout de papier sur le coin sa table et repart en gloussant. Il continue de faire ses affaires puis d'un coup sec, envoie valser le mot à l'autre bout de la salle. Et il reprend le cours de ses pensées et de ses actions... À l'observer comme ça, je dirais qu'il fait dans les mètres soixante quinze voire plus... Ha, il se lève. Ouais non, au moins 1,83m. Les dessins qu'il faisait depuis tout à l'heure, il les a tous déchirés, et il vient de les jeter. De dos, je vois qu'il est musclé, ou du moins, il est loin d'être tout maigrichon. Il a les cheveux blancs, ses yeux, c'est fou, je ne saurais dire avec précision leur couleur. Là je les vois verts... non Oranges. Oranges ? Et tout à l'heure ils étaient marrons foncés. Cela doit juste être à cause de la lumière qui se reflète dedans, mais c'est spécial. Il a un petit nez rond, un visage triangulaire et fin. Il a une sucette dans la bouche. Il porte un jean noir, une ceinture que l'on voit pendre sur les cotés, ainsi qu'un tee-shirt rouge. Par dessus, il a une chemise blanche, avec encore un blouson ou une veste noire dessus. Une chaîne autour de son cou pend. On dirait une plaque de militaire. En me concentrant bien, j'y vois des initiales: Y/A... Je ne sais pas ce qu'elles signifient, enfin, le A comme Atsuhiko, mais Y ? Il a les petits accessoires du rocker. Vous savez, les bagues, bracelets, les chaînes sur le jean et tout le reste. Bah voilà. Il a aussi un casque sur les oreilles. Je le vois battre des pieds en mesure... un musicien ? Non, il aime la musique, c'est tout... Ses chaussures, là je vois qu'il porte des bottes ou des santiags je ne sais pas trop (il fait trop sombre sous la table), mais je sais que d'habitude il a des chaussures en toile noire ou blanche. Il range son cahier à dessins et ses fusains dans son sac en bandoulière noir, sur lequel il a dessiné, peint et écrit des phrases dessus. Lorsque il l'a ouvert, j'y ai vu une photo. Sûrement de sa famille puisque je l'y ai reconnu dessus, avec un autre jeune garçon, un blond, et un homme et une femme. Parents ? Frère ? Il n'est peut-être pas si fermé au monde et moins cruel et méchant qu'il en a l'air...

Et mon caractère?...

Ça ne sert à rien de le décrire avant... Avant que sa mère ne meurt, avant qu'il ne devienne...ça. Bref passons, cela ne fait que réouvrir de vieilles plaies mal cicatrisées. Aujourd'hui, maintenant, Atsuhiko est ... ailleurs. Il sombre de jour en jour dans la dépression, dans les ténèbres que la mort a installé autour de sa famille. Seul Yuto tient le coup. Et il tient le coup pour eux deux. C'est sa source de lumière. Son frère le fait survivre depuis deux ans, il donnerait sa vie pour la sienne... Il s'enferme dans sa bulle, son monde de musique et de dessin. Il dessine au fusain et fait des aquarelles. Il aime les gens, ou plutôt, il a envie de les aimer, mais tout se bloque. Les émotions et lui, ça fait deux. Il est paradoxal néanmoins, parce que la colère, le calme et la satisfaction il les ressent bel et bien, mais pour lui. Ce sont les émotions envers les autres qu'il ne peut ressentir, ou du moins, qu'il ne peut montrer. Seul son frère le comprend et réussit à le déchiffrer. Sinon, il reste une énigme pour tout le monde. Il peut envoyer chier tout le monde, comme les ignorer. Jamais il ne fera le premier pas dans une relation amicale ou amoureuse. Il reste tout de même fidèle et protecteur envers ceux qui ont réussit à rentrer dans son monde, car ce sont les autres qui doivent y rentrer, ce n'est pas lui qui les invite. Il reste très sensible, voire trop, mais seul lui le sait. Il pleure, s'énerve et rit intérieurement. Pour décompresser, il a certes la musique et surtout le dessin, mais il fait su sport. Pas excessivement, mais comme il en fait depuis longtemps, une assez forte musculature s'est développée. Il aime surtout courir, sentir la chaleur envahir ses poumons, cette chaleur qui fait qu'on a l'impression qu'on a le corps qui va exploser de l'intérieur. Cette montée d'adrénaline, qui quand elle retombe, donne le vertige. Courir à s'en donner des crampes aux mollets, des claquages aux cuisses, des ampoules aux pieds... courir pour souffrir et se sentir encore plus en vie.

Edit : Sa vie a changé. Complètement. Revirement de situation complet. Coup de Théâtre ! Atsuhiko est tombé amoureux, pour son plus grand bonheur, celui de "sa" Luna et de son frère, heureux qu'il le soit devenu.

Everything About my life ~

[Même Histoire que Yuto Maï]

Mr. Meero Maï était le gérant d’une dizaine de cabinets d’architectes, dispersés un peu partout au Japon. Un jour où il était sur un gros chantier pour en voir l’avancement, il traversa la route pour se prendre un café dans le bar d’en face. C’est alors qu’un motard arriva de nulle part et fonça sur lui. Il eut juste le temps de l’éviter, mais trébucha et se cogna la tête sur le rebord du trottoir. Il n’avait rien de bien grave, juste une plaie qui faisait ruisseler le sang sur son visage. Une jeune femme accourue vers lui et le pria de venir avec elle dans son magasin, à moins de 5 mètres du lieu de l’accident. Il entra, supporté par la jeune femme, et se fit asseoir sur une chaise au centre de la pièce. Il ouvrit les yeux péniblement ; sa tête lui faisant toujours aussi souffrir ; et aperçu des fleurs. Le magasin en était rempli. De toutes les couleurs, de toutes les formes, de tous les horizons et de tous les parfums. Des bouquets, dont la manière de disposition et de composition lui échappait totalement, étaient accrochés sur les murs, créant ainsi des murs floraux où le béton était totalement caché. Des cages de cristal, laissant entrevoir de petits insectes dont il n’en connaissait pas les noms, étaient disposées un peu partout dans ce lieu. La lumière de l’extérieur y pénétrait grâce à un vitrail au plafond et à l’immense baie vitrée. « Un véritable havre de paix, dit-il à haute voix.
- Oui, on peut le qualifier ainsi. »
La jeune femme était reparue face à lui, une compresse à la main. Elle la posa d’abord sur la jambe de Mr. Maï pour pouvoir ensuite lui nettoyer la plaie. Chose faite, elle reprit la compresse et la lui posa sur le front. Il sentit une curieuse odeur provenir de la compresse.
« Qu’est ce que ça sent ?
- Il s’agit là d’une sorte d’infusion aux plantes. J’ai plongé la compresse dedans pour que leurs bienfaits vous soignent. N’ayez pas peur.
- Je n’ai pas peur. Au contraire »
Cela ne ressemblait pas à Mr. Maï de parler ainsi, surtout à une inconnue. De plus, il s’agissait là d’une occidentale. Vu le style vestimentaire et la délicatesse ainsi que le teint assez mat, il pencherait pour une espagnole.
« - Vous êtes espagnole ? »
Elle se contenta de sourire. Il se passa un petit moment puis :
« Mère espagnole, oui en effet. Mais je suis française. Cela va faire quatre ans que je vis ici. J’aime le Japon. Pour sa culture, les gens, les paysages… Maintenant taisez-vous et laissez-moi vous soigner »
Il se laissait faire, il ne disait rien. Il sourit alors, la regarda dans les yeux et lui tendit la main : « Meero. »
Elle n’hésita pas une seule seconde : « Juliette »

C’est ce jour-là, que Mr. Maï tomba amoureux pour la première fois. De cet amour, naquit un premier enfant, Atsuhiko (« le fidèle homme de talent »), puis l’année d’après, il y eut Yuto : « Celui qui aide ».

L’amour qu’il y avait entre eux, format une famille soudée et unie. Jusqu’au soir du 24 Décembre 2008... Ils étaient partis fêter Noël (« tradition » française que Mme Maï tenait à respecter et à transmettre à ces enfants.) dans un endroit particulier, et d’une façon bien originale : Ils partirent pique-niquer au pied du Mont Sinaï, près des grands lacs. La famille, c’est tout pour elle. C’était tout…

La lune, ce soir-là était magnifique, et illuminait à elle seule toute la région. Vers les 4 heures du matin, le dîner et leur plus belle soirée passée ensemble terminée, ils rentrèrent chez eux. Cette nuit-là, ils eurent un accident. Cette nuit-là, leur mère mourut.
Atsuhiko et Yuto avaient alors 15 et 14 ans.

Yuto avait failli mourir ce soir-là. Ses lésions étaient graves. Mais grâce à son jeune âge, il survécut.

Les trois hommes étaient effondrés et se sentaient vraiment seuls. Surtout Atsuhiko et Mr. Maï, qui avait eu peur de perdre un autre de leurs chers.

Ce soir-là, le 25 Décembre 2008, la famille Maï changea.

Leur père sombra dans l’alcool et la dépression, et Atsuhiko se renferma sur lui-même. Seul Yuto changea en bien. Ayant caressé du bout des doigts la mort, il en aimait deux fois plus la vie. Il aimait tout ce qu’il voyait, toutes les personnes qu’il rencontrait, toutes les créatures qu’il croisait, toutes les histoires qu’il lisait… Cela ne l’empêchait pas de pleurer sa mère lorsque son esprit voyageait jusqu’à elle, les soirs de rêves.
Déjà proche de son frère, l’accident renforça encore plus leur relation malgré le quasi-mutisme d’Atsuhiko. Sans paroles, ils se comprenaient tous les deux, et Yuto l’aidait à chaque instant à faire le deuil, toujours inachevé, de leur mère.
Yuto protégeait du mieux qu’il pouvait Atsuhiko du regard des autres, qui semblaient dire « Ho, regardez ! Ce sont les frères Maï, ceux qui n’ont plus de mère ! Les pauvres, ça doit être dur quand même. »

Yuto s’approcha alors d’une bande de jeunes qui les observaient de loin, fou de rage : « Foutez-nous la paix bande de connards ! » et balança son poing dans la gueule du plus costaud d’entre eux. Atsuhiko rentra dans la bagarre, mais plutôt pour en retirer son petit frère de la mêlée. « Yuto arrête ! – Ouais c’est ça pov’ naze, t’envoie ton nabot de frangin pour nous casser la gueule ! T’es même pas capable de te défendre tout seul ! »
Yuto tenta de se dégager de l’étreinte d’Atsuhiko pour y retourner, mais Atsu, bien que plus petit en taille et moins costaud utilisait toute sa force disponible :
« Yuto, non. Ils n’en valent pas la peine.
- Je ne supporterais pas une seule fois de plus qu’on te parle comme ça !
- C’est pas grave j’te dis. Laisse pisser. J’ai l’habitude.
- Il faut pas que ça en devienne une justement !
- Trop tard. »

Ce genre d’attitudes ne faisait qu’accroître le malheur d’Atsuhiko, mais également la force de caractère de Yuto. Il devint alors le grand frère. Pour pouvoir encore mieux le surveiller, il travailla du mieux qu’il pouvait pour atteindre l’excellence dans ses résultats scolaire, ce qui lui permit d’avoir le choix de sauter une classe, et ainsi être dans la même que celle d’Atsu. Il n’hésita pas une seconde.

Ils passèrent le cap des « un an » sans leur mère, mais celui des deux ans était bien plus difficile. La colère de Yuto s’était dissipée, mais pas la torpeur d’Atsuhiko : Yuto était arrivé à l’étape 5 du deuil, la phase finale : l’Acceptation. Mais Atsuhiko était coincé à la phase 4, tout comme leur père : la Dépression.

Face au « désengagement de rôle » de la part de leur père, Yuto décida de prendre les choses en main et inscrivit son frère et lui-même dans une Académie en France où les étudiants sont essentiellement japonais, pour recommencer leur vie et peut-être ainsi redonner le sourire à son frère qui lui manque terriblement...

Edit : Après une année à l'Académie, Atsuhiko a retrouvé le sourire. La rencontre la plus importante de sa vie. Celle de sa bien-aimée Luna. Il nage dans le bonheur. L'euphorie ? Non, évitons les clichés. Elle l'obsède. L'enivre de son âme qui agit comme le jaune d'oeuf dans une mayonnaise (poétique hein?). Elle lie tous les éléments entre-eux et fait ressortir le goût. Voilà Atsuhiko, prêt à aborder la vie du bon côté, même si tout s'écroule, le verre restera à jamais à moitié plein.

~ Hors RPG ~

Comment avez vous connu le forum : Par la V1 de l'académie, et j'ai un DC.
Votre age : 18 ans.
Le Code : Validay By Dana O'Hara
DC : Yuto Maï

Re Yuto, tu sais quoi faire o/

Oui, merci Tsukiyo :)

Y manque une partie du code il me semble. x)

Youps, désolé :)
Voilà, c'est arrangé :D

Gnyark ! :D

Rew bienvenu bonne fiche je laisse un modo s'occuper de ta fiche mais je te valide le codes.

Validé Monsieur !

» Daisuke Hatano, un ange sorti tout droit des enfers ~
» Roderich, tout en musique ~
» Parce qu'il faut un début à tout
» Demande tout à fait innocente
» Fourre-tout~( classe comme nom hein ? /SBAAAAM/)

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