Académie Manga RPG
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.


Forum ouvert aux 14 ans et plus. Déconseillé aux moins de 16 ans ~
 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
-20%
Le deal à ne pas rater :
Ecran PC GIGABYTE 28″ LED M28U 4K ( IPS, 1 ms, 144 Hz, FreeSync ...
399 € 499 €
Voir le deal

Partagez
 

 Angelya (Enfin fini !)

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
Anonymous
Invité
Invité
MessageSujet: Angelya (Enfin fini !) Angelya (Enfin fini !) Icon_minitimeMar 28 Juin 2011 - 18:03

Angelya Melancholya
Angelya (Enfin fini !) 610008angelya

(c) CRÉDIT - FICHE
about You ♥

17 ans ♣ Asexuelle x) ♣ Associable

3 Qualités 3 Défauts .
Intelligente-Débrouillarde-Plutôt attachante.// Méfiante-Froide-Rancunière.


Quand je regarde dans un miroir, je vois...

La physionomie d’Angelya ? D’après elle, il n’a rien de parfait, sans être pour autant ingrat. Les filles de son âge sont très attacher à leur apparence physique, justement parce qu’elles estiment que les jeunes hommes de leur âge y prête beaucoup attention. Mais la demoiselle ne se juge pas de la sorte : celle à qui elle veut plaire, c’est uniquement elle-même. Le problème, c’est qu’elle se trouve banal… Il faut dire que ces cheveux châtain clair légèrement onduler n’ont rien d’extraordinaire pour une française de souche, ainsi que ces deux yeux bleus, bien que ces derniers lui permet de recevoir d’innombrables compliments, notamment parce qu’ils sont particulièrement cyan, et virent presque vers le gris tellement ils sont clair. Cela fait déjà beaucoup de particularités, mais elles ne s’arrêtent pas là : Son regard est réellement la première chose qui frappe chez elle. Deux grand saphirs noyer dans un lagon peu profond, aux paupières très large et ouverte sur le monde, habillé d’une flopé ahurissante de cils long qui ne fait que d’avantage capter l’attention sur cette partie de son corps. Pour elle, ces genres d’éloges sur son apparence sont vaines : pourquoi la complimenter pour des cheveux qu’elle a volé à sa mère, et des yeux qu’elle à emprunté également, mais à son père ? Elle n’avait rien décidé la dedans : la magie de la biologie s’était octroyer le droit de la façonner à l’image de ses deux géniteur, rien d’extraordinaire. Mis à part les yeux, elle a également hérité du teint pâle de son père, ainsi que la forme de ses petites lèvres très légèrement pulpeuses : au centre de sa bouche, un cœur soigneusement dessiner, bien que le reste semble être un léger coup de pinceau terminal le chef d’œuvre d’un artiste, faisant toute la différence. Cette bouche dessiner au milieu de se minois laiteux à tendance à s’arquer sur le bas ; autant vous dire qu’un sourire d’Angelya vaux son pesant d’or, mais il en va de même si elle ouvre la parole ; c’est d’une rareté extrême, mais pas impossible pour autant … Son visage est petit et parfaitement rond, au front sphérique, à la petite mâchoire avec de jolie pommettes saillantes, parfaite symétrie avec celui de sa mère. ; il s’agit d’une forme plutôt répandu chez les jeunes filles de sept, huit ans, quand les os de la mandibules et du crâne ne sont pas totalement fini, leur donnant ce petit air candide, si leurs innocence n’a pas été dérober avant … Par contre, son nez est légèrement long, et part en trompette en son extrémité ; parait-il que ce genre de museau est celui des fouineuses, ou du moins ceux des gens curieux, leur donnant l’aspect d’avoir toujours quelque chose à humé, tout en se méfiant des autres… Que dire d’autre à part qu’elle a un visage très enfantin, mais à la prestance tel qu’il est facile de deviner qu’elle est proche de la vingtaine ?

Pour ce qu’il s’agit de son corps, Angelya n’est pas particulièrement grande, ni petite, elle doit mesurer dans les 1m70, mais il faut dire qu’avec tout les étudiants étranger de l’académie, notamment asiatique, elle parait vraiment plus grande, et cela la dérange un peu, elle qui apprécie tant la discrétion …. Mais comment se faufiler dans une foule qui à une tête inférieur à soi ? Autant s’’habillé en blanc dans une foule vêtu de noir ! Par contre, la jeune fille n’est pas maigrichonne, et à très certainement déjà acquis ces atouts féminin adulte ; elle à une poitrine relativement généreuse sans pour autant être trop grosse, mais à un bassin très visible et une taille très mince. Pour elle ? Angelya est peut-être un Peter Pan féminin, espérait que d’une façon ou d’une autre, elle resterait un éternel enfant : malheureusement, son corps en à décider autrement, répondant à la dur dualité de l’existence : il grandit et se féminise. Elle a la chance de possédé des membres filiformes et longs, de se fait, elle a de grande jambe mince et des bras délicats aux petits mains orné de doigt élancés et minces, agiles et adroits, aux ongles soignés et à la prestance certaine. Bref, un physique pareil devrait satisfaire une ado en temps normal : mais pas dans ce cas. La raison ? Elle est sous entendu plus haut : la jeune fille à la peau clair n’aime pas prêter l’attention sur elle, et un corps trop féminin à tendance à faire retourner les jeunes gens plein d’hormone, ce qu’elle déteste par dessus tout. Pourtant, la demoiselle ne veut pas que son malaise soit pressentit, et ne se laissera pas sombrer dans le style garçon manqué : le tout est de sembler épris de soi en soignant sa personne, sans tomber dans l’extrême, qui serait à la fois ridicule et complètement inapproprié. Mettre des robes ? Oui, mais en dessous des genoux. Mais surtout, ne pas avoir le même style vestimentaire que les autres, sinon, ça fait kitch, tout en laissant sous entendre qu’elle manque d’originalité et qu’elle suit réellement la mode : Non, Angelya n’aime que le noir, et elle a peut-être des tendances gothique sur les bords, notamment parce qu’elle aime des tissus tel que le velours, le tulle, la dentelle, mais aussi parce qu’elle apprécie capuchon, jupe bouffante, corset et boléro….
Angelya fait toujours attention à la façon dont elle se meut, notamment par coutume : sa mère à toujours été stricte sur sa prestance, et la petite fille qu’elle était devait faire bonne figure sous le regard des autres. De se fait, elle se tient toujours très droite, et d’une façon habille, prenant la peine de savoir parfaitement où elle met ses pieds et ses mains. Elle n’a rien de maladroit dans sa démarche, puisque tout cela est calculer minutieusement dans sa tête avant même qu’elle agit. Certains diront que cette façon de faire attire inévitablement l’attention sur elle, mais en y réfléchissant, une jeune fille faisant fi des bonnes manières et de sa position et qui se comporte vulgairement comme un garçon mal élevé n’est-il pas plus déconcertant, et de ce fait, plus attrayant du regard ?
Bien qu’elle apprécie énormément ces très longs cheveux châtain qui lui arrivent au niveau du bas du fessier, dépourvu de frange, et les laisse lâche constamment, Angelya ne s’aime pas, mais pour autant, elle ne le montrera pas : ce n’est pas vraiment un soucis de fierté ou de respect de l’autre, juste qu’elle estime qu’il est préférable de garder son mal-être en soi, et que quoique les autres peuvent dire, elle n’a confiance qu’en soit et ne prendra en compte que son propre avis.

Et mon caractère?...

Les premiers mots qui viennent à l’esprit quand l’on songe à Angelya sont simples ; Réfléchit, sang froid, organisée, droiture et justesse d’esprit. Une vague de sentiments qui serait capable de tout déferlée sur son passage ? Tout, sauf Angelya. La jeune fille à toujours la tête très froide et emboiter entre ses deux épaules, et s’assure qu’il en soit toujours ainsi. On pourrait vulgairement relater les faits ainsi : Elle ne sait pas s’amuser et est bien trop sérieuse : elle est bizarre. C’est une description farfelu et passe partout, certes, mais c’est surtout ainsi qu’elle est perçu par ses camarades de classe, le plus souvent. Elle ? Bien sûre qu’elle n’entreprend pas les choses de la même façon ; c’est les autres les bizarres. Oui, le monde entier l’est. Elle, elle ne veut pas s’encombrer d’émotions inutiles qui pourraient lui faire perdre ses moyens, elle qui est si attaché à la raison et aux faits tels qu’ils s’offrent à ses yeux. Elle ne comprend pas vraiment les gens qui par la force du destin, vivent des expériences bien étrange en collectivité. A la place des fêtes inutiles aux sonorités insupportables, elle optera pour une soirée calme avec pour seul musique les grillons faisant la cours à leur damoiselles. Rien faire et réfléchir sur les autres est le seul moyen qu’elle est trouver pour réellement se détendre. Oh, bien sûre, elle ne pense pas à la façon dont elle est vu par les autres ; ça, elle s’en fiche. Bien qu’elle soit dépourvue du sens de la camaraderie, et qu’elle a de fâcheuse tendance à ne pas comprendre les gens sociables, elle a appris à être tolérante et à accepter les autres tels qu’ils sont, et tels qu’ils la voient de surface. Elle n’a rien à leur prouver, et n’est pas intéressé par leur petit manège, bien que les voir agir au loin l’amuse souvent. Ainsi, elle n’est pas du genre à s’énervé, ni à rire d’ailleurs ; on pourrait s’imaginer qu’elle ne ressent rien et par conséquent qu’elle n’a pas de réaction, et donc qu’elle ne se remet jamais en question et qu’elle considère les choses acquisses telles qu’elles sont. Ce n’est pas du tout le cas ; la jeune fille aux yeux saphirs est sûrement un peu à coté de la plaque et ne s’imagine pas très bien les conséquences qu’entraine son comportement détaché à l’existence ; elle ne croit pas au destin, ni à la liberté que jouirait une vie sans fatalité ; si rien n’est tracer, c’est parce qu’il n’y a pas de feuille à gribouillé, la vie est un gros néant vide d’intérêt. La vie, comme la liberté, n’est qu’un fantasme qu’à proliféré sournoisement l’homme : point barre. Mais alors, qu’es-ce qui pousse Angelya à vivre malgré tout ?
La réussite. Elle est obnubilée par le triomphe. Un violant petit animal en elle la pousse à vouloir être la meilleure en tout. Attention, elle veut gagner, certes, mais sans tricher. Un coté bien trop sérieux qui révèle en elle un puissant ressentiment, alors qu’elle semble depuis le début de ma description être une poupée vide d’émotion : Faux. Elle déteste l’échec. Et ce, dans tous les domaines qui puisse exister ici bas. Alors oui, elle veut être en tête du classement en cours. Oui, elle veux avoir le meilleur métier qui soit au monde, bien qu’elle ignore lequel est-ce … Oui, elle doit ressentir en elle cette puissante émotion de supériorité grâce à sa matière grise, quitte à prendre un sourire narquois et vile lorsqu’un adversaire se considère vaincu par sa herculéenne domination …Alors certes, madame est traité d’étrange, peu importe. Les autres, ils ne savent pas ce qu’elle est. Ils doivent croient simplement qu’elle n’a pas de raison de vivre, et qu’elle plonge dans ses bouquin de cours pour se donner une raison d’exister, mais d’après cette cher et tendre sectaire de première, c’est eux qui sont dans le faux, et elle dans le véritable. Il n’y a rien à prouver aux autres, et tout à apprendre pour soi.

Vu sous cet angle, il est compréhensible que tout le monde trouve Angelya étrange. Mais dites-moi, quel genre d’absurdité un enfant se met-il dans le crâne pour avoir un esprit de conquérant pareil ?!
Je vous arrête tout de suite. Oui, je vous vois venir avec une raison que tout individu serait amener à penser : des parents exigeants, qui l’on mit sur un piédestal pour qu’elle devienne que l’ombre de soit même, la privant de vie social dès son plus jeune âge, et tout le touticounti.
La raison ? Elle est au plus profond de ses entrailles : comme beaucoup d’associable froid et sénile avec l’âge, voir même parfois aigri, il y a eu un début à tout, et une face cacher derrière un masque si lourd à porter. Son cœur n’est pas du givre, c’est une roche : même un cœur chaud ne peut pas l’attendrir, et elle reste complètement de marbre. En fait, je me demande encore si elle s’est rendu compte que des gens quelconque on essayer de l’aider, surement, à contrario d’elle, trop ampli de bonne volonté et de compensions, elle s’est souvent fait accoster quand elle était seul ; pas pour un plan drague, seulement pour qu’on sache si elle va…. Elle ne doit pas se rendre compte. C’est peut-être ça le problème : d’elle-même, elle a toujours eu peur des autres : peur de ne pas être accepter tel qu’elle est, puisqu’il est évidant qu’avec de tels façon de pensée, elle ne peux pas comprendre qu’on puisse aimer quelqu’un, même ampli de défauts. Mais la peur de l’autre n’est qu’un cercle vicieux : à ne pas aller vers les autres, Angelya se dit qu’elle est dispensable et que de ce fait, personne viendra la voir. Et le tout à sûrement du se transformer en mégalomanie avec le temps. Pourquoi être ainsi ? On va pas se lancer dans une théorie Freudienne, après tout, son tempérament est ainsi, on ne va pas farfouiller comme ça dans son enfance !
Mis à par se trait de caractère omniprésent, quand Angelya s’attache, même si c’est rare et long, elle ne fait pas semblant. Mais il est toujours dur pour elle de s’avouer si soucieuse des autres, et préfère toujours se mentir à elle-même plutôt que d’admettre son affection : ça fait d’elle quelqu’un de têtu et de bornée, voilà bien des défauts pour quelqu’un qui veut être en tête des classements !
Retenez donc ceci : Angelya est froide, très froide. Si vous l’accostez, cinq minutes après, elle aura oublié votre nom et votre visage, parce que cela lui encombre la mémoire pour rien. Si elle ne connait pas, elle reste stoïque, elle peut sympathiser mais fera en sorte que ça ne se voit pas, pouvant partir du jour au lendemain de votre existence sans vous prévenir, et plus elle s’attache, plus elle devient méchante et glacial !
Constat donc : la classe et la droiture de sa démarche cache une réel maladresse avec les autres, voir un malaise.
Petit plus à savoir ; Angelya considère toujours qu'une qualité peut se révélé être le pire des défauts, et inversement. Elle n’estime rien comme acquis, et sais juger l'importance du regard d'une conscience particulière sur un réceptacle particulier, mais elle ne se considère pas assez pour l'appliquer envers elle-même, insatisfaite de ce qu'elle est quoiqu'il advienne. De ce fait, elle n'admet vraiment pas qu'on l’apprécie pour ce qu'elle est, se détestant soit-même.


Everything About my life ~


Comme une brise s’abattant sur le visage meurtrie par le temps d’une vieille dame, la vie suit son court comme elle l’a toujours fait, et peut importe le dernier soupire d’une femme, le vent, lui, souffle toujours. Quoiqu’il advienne.

Du moins, la vie d’Angelya semblait être forger dans cet acier trempée. Elle était née au début de l’automne, le 22 septembre avec plus de précision. La saison est caractérisée par l’attente d’une mort ostentatoire de la nature, l’acceptant après le batifolage intense de couleurs flamboyantes en été. En attendant le renouveau, elle devait décéder. Et chaque année, elle s’octroie le même rituel. Les feuilles se détachent et dégringolent de leurs branches, soufflé par un vent d’autan, et dansant dans un ballet où elles s’entrecroisent et s’effleure qu’une fois qu’elles déposent les armes à terre. Paradoxalement, cette mort théâtral est orné de couleurs chaudes, rouge, jaune, rendant le spectacle plus délicieux à la vu encore. L’automne est l’essence même d’Angelya : l’attente sereine de la déchéance, après avoir déployé ses pétales à la vu de tous.

Sa mère était d’amblé seule le jour de sa venu au monde. Bien sûre, l’enfant ne se rendait pas compte de la présence manquante dans ce tableau ; il fallait être deux pour procréer … Les raisons de cette non présence sont toujours flou dans sa mémoire, notamment parce que sa mère ne lui en à jamais dis mot. Son paternel avait-il fuit la mère enceinte ? Etait-il seulement au courant ? Et pourquoi ne pas admettre qu’il était mort ? En tout cas, Myriam, la mère restant dans ce schéma familial monoparental, avait l’impression que cette naissance était en quelque sorte un moyen de pencher la balance de sa vie dans un merveilleux bonheur de soie. Comme beaucoup de femme, se ne fut qu’en voyant le visage de son bébé qu’elle lui choisit son nom : Angelya. Un ange qui nait dans un désarroi des plus chaotique, et qui montre le chemin reluisant menant à la lumière … Myriam avait donc beaucoup d’espoir en sa fille, et l’éduqua avec sagesse et courtoisie, bien que l’enfant était très souvent seul dans sa chambre, s’occupant comme elle le pouvait. Sa mère était une acharné de travail, notamment parce que son compte en banque avait du mal à suivre son rythme de vie, et même si elle aimait Angelya de toute son âme, elle ne pouvait être avec elle tout le temps, et devait au moins le fournir les besoins physique essentiel à la vie : à boire, à manger, la santé, un toit … Du coup, la fillette devint très vite débrouillarde, n’ayant d’autre choix que de faire appelle à son instinct de survie diminué. Comme tout jeune gens, elle avait du mal à comprendre pourquoi elle devait patienter toute la journée pour enfin retrouver son rayon de soleil à elle. Souvent, elle prétextait la nuit qu’elle venait de faire un cauchemar pour que sa mère la dorlote entre ses draps …. Malgré ce second manque, elle ne s’en plaignait jamais, bien qu’elle le vivait plutôt mal. Elle avait donc appris qu’il fallait parfois se taire lorsque les sentiments ne font que mal et n’aboutissent pas à une conclusion positive.
Éprise de sa mère, elle était jalouse de la voir sourire béatement quand elle décrivait son père. Elle savait au fond d’elle qu’il fallait deux personnes adultes pour faire une famille, mais se trouvait très bien seule avec sa mère, et n’aimait pas la façon dont son père se mettait entre elles alors qu’il n’était même pas là. En tout cas, Myriam gardait toujours ce silence pesant lorsque qu’Angelya la questionnait sur la raison de sa non présence. Mais l’enfant était encore bien jeune ; elle n’était même pas encore à l’école, mais à l’âge de trois ans, sa mère, toujours parce qu’elle n’avait pas moyen de la faire garder en échange d’argent, la laissa dans la cours de l’école. La petite fille châtains était un peu inquiète de se changement soudain, elle devait vivre avec des petites personnes de son âge, terriblement bruyantes. Comme tout petiots non sociabilisé, les enfants peuvent se révélé être des monstres abominables. Ne pensant qu’à leur petit nombrils, ils se chamaillent, se bousculent, et n’ont ni la notions du partage, ni de l’autre … Angelya ne faisait pas exception à la règle, évidemment, mais elle était toujours très calme, et préférait déjà regarder cet attroupement massif d’animal sauvage se mordre et se tirer les poils pour un rien. Elle n’avait pas beaucoup de jouet à la maison, alors même un simple lego l’émerveillait facilement ; les autres ne se battraient pas pour des jeux si ridicule. La petite fille attendait simplement que sa mère vienne la chercher ; c’était un nouveau moyen de patienter ; regarder les autres s’activer et s’acharner.
Angelya passa donc toute sa maternelle ainsi, mais le glas sonna, et la primaire débuta. Elle se fît quelques amies, mais le plus intéressant était ses cours, notamment à cause de la récompense qu’il y avait à la clef ; un joli sourire de sa maman, toute fière de dire que sa fille était une petite surdouée en herbe. L’excitation de cette décoration était à son comble dans son petit esprit en éveille, et elle travailla d’arrache-pied pour l’obtenir dès qu’on lui donnerait une notation sur 10. Les amies n’avaient pas de très grande importance à ses yeux, elles avaient par contre des sujets de discutions bien étrange qui intriguait grandement Angelya ; elles parlaient de papa, de vacances à la mer, celles à la montagne, du nouveau stylo à la mode, et ainsi de suite. Bien que ce genre de discutions soit futile, les yeux de notre cher petite fille ne pouvait s’empêcher de briller devant de tel merveilles. Toutes ses camarades semblaient vivre dans une autre dimension, un tout autre monde tellement beau ou les ambitions ne sont pas de vivre dans l’attente et la récompense. Angelya était surement beaucoup trop dans un schéma de compétition trop tôt pour un enfant.

Et au gré des saisons, elle fît de plus en plus de rencontre, voyant que les autres avaient tous un croquis de la vie différent d’elle, et elle appris alors la diversité, ainsi que son acceptation.
Elle eu alors 9 ans, mais une grande nouvelle bouleversera sa vie avant la fin de l’automne, juste avant de plonger dans le sommeil de l’hiver …

Stéphan. Le nouveau rival.

Myriam c’était entiché d’un homme légèrement plus âgé qu’elle. Il ressemblait à la description de son propre père, sauf que contrairement à lui, il avait l’intention de les séparer en étant présent dans le foyer des deux filles. Son géniteur, contrairement à lui, avait compris qu’il ne fallait pas vivre sous le toit de sa mère. Mais Stéphan n’avait pas cette amabilité…

Comme son père, il avait des yeux bleus cyan, et une toison d’ébène, légèrement trop longue pour un homme à cette époque. Cette large bouche les lèvres fines et effilé, cette carrure typiquement masculine, et ce teint pâle qu’elle avait hérité de lui. En fait, il ressemblait trait pour trait à son père, du moins, à la façon dont son petit crâne l’avait imaginé lorsque sa mère le décrivait avec une précision endiablé par la passion. Angelya n’aimait pas ce nouveau colocataire dans le cœur de sa mère, et ne le cacha pas ; elle le dit d’embler.

Pourtant, la demeure qui avait une note très légère de parfum hespéridé changea brulement pour une odeur de cuir pestilentiel au nez d’Angelya. L’homme, le mâle, s’était installé dans leur petit foyer. La jeune fille était terriblement vexée d’être de la sorte abandonné par sa mère, et elle songeait déjà à ne jamais lui pardonner, délaissé de la sorte, et rancunière comme pas permis. Le beau sourire qu’elle gagnait à la fin de chaque devoir n’avait plus d’importance ; à parti de là, Angelya laissa tomber toute envie en elle, et comme les feuilles en automne, elle ne désirait plus devoir fournir encore l’effort pour réussir aussi brillamment. Elle tomba donc en chute libre dans un puits sans fond, sans moindre espoir de se redressé … Et plongea dans un mutisme profond, n’adressant plus la parole aux deux voleurs de cœur, comme elle aimait les nommer.
Elle aurait très bien pu finir très mal. Et tout s’enchaina à une vitesse effréné ; en deux ans, vœux de fiançailles, mariage, projet et … Enfant. La petite fille qu’elle était avait toujours désiré au plus profond de soit avoir un frère ou une sœur, petit(e) ou grand(e) … Malgré le fait qu’elle n’était pas réconciliée avec sa mère, elle regardait avec une lueur d’envie son ventre se gonflant a vu d’œil chaque jours.

Mais il fallait d’abord soigner son mutisme avant tout … C’est pour ça que durant tout ce temps, elle suivait une thérapie chez un psychologue. Etrangement, il ne lui semblait pas avoir besoin d’un tel suivit. Pour elle s’était peine perdu, on lui avait volé sa mère, elle n’avait plus à lui adressé la parole. Le psy suggéra à sa mère de la faire communiqué par le biais d’un instrument. De se faite, elle l’avait inscrit dans plusieurs activités extras scolaires, mais Angelya est têtue comme une mule : elle y m’était de la mauvaise volonté, et tout les mois, il fallait changer d’instrument. Pourquoi ne pas lui dire que tu l’aimes tout simplement ? Cela est surement bien trop facile pour que tu fasses sûrement…

Pourtant, un jour, un instrument à sonner au creux de ses oreilles comme tinterait un chant transcendantal ; le violon. Mais elle ne devait pas réalisé la difficulté et le temps que demande l’apprentissage d’un tel instrument ….
Elle avait alors 11 ans et 3 mois. C’était le mois de décembre, lorsque tout est recouvert d’une neige épaisse …

Elle venait à peine de rentrer dans le cours de violon, et la vu du sien dans son étui en cuire lui donnait envie d’apprendre, de façon violente, comme lorsqu’on frictionne l’arche sur les corde, et par de grand coup de poignet soudain, on change de sens de frottement. Et pour la première fois, elle essaya de jouer un instrument … Chez elle.

Surprise, sa mère se précipita dans sa chambre, car même si c’était évidemment très mal jouer, la maison silencieuse devenait un peu bruyante de façon si brutale …Et la confrontation eu lieu. En deux ans, cet instant que Myriam eu tant attendu ….Mais Angelya était bornée …

Alors qu’elles s’échangèrent un regard plein d’incompréhension, lourd de sens malgré le silence revenu, comme lorsque la feuille tombe au sol, Angelya, pris d’une pulsion, parti en trombe vers l’extérieur, courant à bout de force, et à bout d’haleine …Ce qu’elle n’avait pas réalisé, c’est que sa mère, malgré son 6ème mois de grossesse, lui courait après.

Et le requiem sonna. Et l’hiver vint enfin avec son épais coton de neige maculée ….
Alors que Myriam courait après sa fille, une voiture la percuta de plein fouet, la projetant à une vingtaine de mètre. Autant dire que le choc fut assez brutal pour qu’Angelya entende le requiem résonner dans ses tempes. Il carillonnait de toutes ses forces.

Et l’hiver fût rude.

Myriam comme l’enfant qu’elle portait mourra après cet accident. Combien de fois a-t-on dit à sa fille que c’était la fatalité de la vie, et que ce n’était pas sa faute ? Trop de fois pour qu’elle y croit. Elle abandonna toute forme de musique, qu’elle s’était forcer à haïr, mais qu’elle abhorrait désormais à tout jamais. Le violon fini à la poubelle. La peau de sa mère, qui avait un teint légèrement hâlé, était devenu grise et terne au fond de son cercueil, mais surtout, tellement froide … Son cœur devait rester dans cette boîte en chêne lui aussi, et à plusieurs pieds sous terre, il ne risquait pas de venir démolir une nouvelle fois sa vie. Aimer les gens de façon trop maladroite ne devait pas exister. Alors elle fût le vœu de ne plus jamais aimer personne, incapable d’affectionner correctement avec son cœur corrompu de la noirceur cruel et de la mort qui orne le mois de septembre.

Mais l’hiver était rude aussi dans un autre cœur que le sien. Tout semble froid, et les cœurs se couvrent d’une épaisse fourrure ….

Son beau père était à la charge d’une fille qui ne l’avait jamais aimé, et qui avait rendu infernal la vie de la femme qui l’aimait. Stéphan tomba rapidement dans l’excès, pour compensé la perte d’un amour. Drogue, tabac, marijuana, alcool …. Son visage vieillissait comme une fleure abandonner à son sort, les traits était rude, sévère ses yeux pourtant si beaux étaient tombants, sa oublier cette barbe naissante sur son menton ... Le dialogue n’avait jamais existé entre ces deux là, et Angelya estimait qu’elle ne devait jamais l’installer ; il était bien trop tard. Alors, même si elle n’était pas enchantée, elle voulait au moins revoir sa mère souriante dans ses rêves, et repris de façon plus assidue ses cours, rattrapant le retard accumulé en deux ans.

La jeune fille grandit bien vite. Et c’est normal lorsque l’on oublie sa part sentimental dans un cercueil, bien que ce soit volontaire dans son cas … Elle n’avait pratiquement pas de contacte, ne parlant jamais à son beau père, mais l’aidant simplement à se rétablir un peu après une soirée agité ; il fallait décuver, ranger la maisonnette, aérer les pièces … En tout cas, à chacune de ses tâche accompli, elle se promit de ne jamais invité quelqu’un dans un tel bric à braque, elle aurait si honte …
Mais les lueurs du printemps faisait fondre de plus en plus la glace, voir le givre qui s’était installer …
Angelya cachait bien trop de larmes sous ses paupières. Elles demandaient qu’à couler, en effet, elle n’avait jamais pleurer depuis qu’elle avait vu sa mère étendu au sol, la bouche en sang, prise d’une panique monstrueuse, criant son prénom comme si cela la ferait réagir … Mais c’était surement bien trop tard pour donner de la voix …

Mais à ses 17 ans, elle réalisait qu’il fallait peut-être donner un peu plus de chaleur à Stéphan, lui qui restait là, même s’il ne s’agissait que d’une présence, pour qui elle n’avait même pas le centième d’amour qu’elle éprouvait pour sa mère, il avait subsisté malgré tout auprès d’elle. Dire, qu’avant, c’était un reproche … Aujourd’hui, elle réalisait qu’il ne l’avait pas délaissé, et que malgré ses nombreux excès, il n’avait jamais lever la main sur elle, et était rester silencieux, ne la forçant pas à parler … C’était un point de vu nouveau qu’elle avait envers lui. Avant, Angelya se disait simplement qu’elle était une charge misérable à ses yeux, et qu’il n’avait pas l’envie de lui parler … En fait, il n’avait que respecter ses choix. Par un murmure, un simple petit merci qu’elle lui avait adressé après tant d’années de silences, les larmes et les langues se sont dénoués, comme s’il n’y avait plus de poids en eux …. Et tout se réalisa dans une simplicité presque affligeante.

Angelya ne pouvait qu’admettre au fond d’elle qu’elle aimait beaucoup Stéphan, et qu’elle devait lui accorder le droit de refaire sa vie. Lui aussi parlait de sa mère avec ce petit sourire béat quand il décrivait sa mère, tout comme elle le faisait avec son père géniteur. Il aimait. Et elle l’avait aimé. Angelya avait été celle en trop dans ce tableau. Celle qui était sortie du ventre de Myriam n’avait rien d’un ange. Elle avait empêché sa mère de refaire sa vie durant 9 ans, et à faire perdre 6 ans de la vie d’un homme gentil et attentionné, qui détruisait un potentiel qu’elle n’avait même pas perçu, alors qu’elle le dévorait de jour en jour. Il fallait donc prendre un autre chemin.

Pour cela, elle décida de parti dans une école ou il y avait la pension intégré, et pas trop cher, tout en restant de qualité. Elle mit la main sur l’académie amusante, il soulignait le fait qu’elle avait beaucoup de pensionnaire étranger ; avec un peu de chance, Angelya continuera de vivre dans sa bulle, n’étant qu’une petite française de campagne, sans grand-chose à raconter, comme les autres individus qui viennent de pays lointain …

Elle prétexta à Stéphan qu’elle avait besoin de prendre son envole, pour ne pas lui dévoilé ses véritables intentions : souhaiter qu’il se reconstruise. Bagage en main, elle l’embrassa sur la joue chaleureusement, comme s’il s’agissait d’un adieu, et parti en train …

Et le printemps ne fait que commencer, bien que la nature dévoile déjà des petits bourgeons …




~ Hors RPG ~

  • Comment avez vous connu le forum : Bouche à oreille sur un autre forum rp x)
  • Votre age : 21
  • Le Code : Validay By Dana O'Hara


Dernière édition par Angelya Melancholya le Ven 1 Juil 2011 - 5:17, édité 13 fois
Anonymous
Invité
Invité
MessageSujet: Re: Angelya (Enfin fini !) Angelya (Enfin fini !) Icon_minitimeMar 28 Juin 2011 - 18:41
Welcome sur le forum bonne chance pour ta fiche en espérant que tu te plaise parmi nous.
Anonymous
Invité
Invité
MessageSujet: Re: Angelya (Enfin fini !) Angelya (Enfin fini !) Icon_minitimeMar 28 Juin 2011 - 18:52
Bienvenue Misstinguette !
Tu es asexuelle ? XD Eh bien, ce n'est pas marrant pour toi ! ^^

Bonne continuation pour ta fiche !
Anonymous
Invité
Invité
MessageSujet: Re: Angelya (Enfin fini !) Angelya (Enfin fini !) Icon_minitimeMar 28 Juin 2011 - 19:15
    Welcome Miss :3'
    Bonne continuation pour ta fiche !
Anonymous
Invité
Invité
MessageSujet: Re: Angelya (Enfin fini !) Angelya (Enfin fini !) Icon_minitimeMer 29 Juin 2011 - 18:36
    Bienvenue à toi miss !
    Ta fiche est très agréable à lire ! Malgré quelques petites fautes qui reviennent souvent comme les é/er et les accords de pronoms/participes passés et autres. Mais rien de très fulgurant pour ma part ! o/

    Bonne chance pour la suite de ton histoire !
Anonymous
Invité
Invité
MessageSujet: Re: Angelya (Enfin fini !) Angelya (Enfin fini !) Icon_minitimeMer 29 Juin 2011 - 21:58
Welcome :3
J'aimerais bien savoir de quel forum tu viens xD
Anonymous
Invité
Invité
MessageSujet: Re: Angelya (Enfin fini !) Angelya (Enfin fini !) Icon_minitimeJeu 30 Juin 2011 - 2:55
Coucou
Merci pour ce chaleureux accueil

Je suis nulle en orthographe, c'est affligeant *-*" encore pardon, je vais essayé de corriger les nombreuses fautes TwT

Eh bien, auparavant j'étais au pensionnat Tsukiyo et Vampire Knight Rpg V2 , mais je suis parti du premier à cause de certains litiges ...
Je sais pas si j'ai le droit de l'écrire en tout cas, mais j'ai répondu honnêtement, mais je sens que je vais me faire taper sur les doigts pour ces pseudos pubs OxO
Anonymous
Invité
Invité
MessageSujet: Re: Angelya (Enfin fini !) Angelya (Enfin fini !) Icon_minitimeJeu 30 Juin 2011 - 3:56
Ahhh je pense savoir de quel fow tu parle =o (JE CROIS XD)
Sinan, pour te corriger, utilise bonpatron.com ;)
Anonymous
Invité
Invité
MessageSujet: Re: Angelya (Enfin fini !) Angelya (Enfin fini !) Icon_minitimeJeu 30 Juin 2011 - 7:45
Bienvenue miss.
J'aime bien ta fiche et la musique que tu a mis ^^ (j'aimerai trop savoir faire ça) Enfin bref, bonne continuation.
Anonymous
Invité
Invité
MessageSujet: Re: Angelya (Enfin fini !) Angelya (Enfin fini !) Icon_minitimeJeu 30 Juin 2011 - 9:20
Yôkoso!

Sympa la fiche, très plaisante à lire.
J'attends l'histoire avec impatience!
Anonymous
Invité
Invité
MessageSujet: Re: Angelya (Enfin fini !) Angelya (Enfin fini !) Icon_minitimeJeu 30 Juin 2011 - 10:07
    Nekuu ♥♥
    J'aime beaucoup le début de ta fiche, bonne chance pour la finir x)
Anonymous
Invité
Invité
MessageSujet: Re: Angelya (Enfin fini !) Angelya (Enfin fini !) Icon_minitimeVen 1 Juil 2011 - 5:18
FINI \O/ !!!! (alleluia)
Et merci ma petite Yûki ^o^
Anonymous
Invité
Invité
MessageSujet: Re: Angelya (Enfin fini !) Angelya (Enfin fini !) Icon_minitimeVen 1 Juil 2011 - 17:51
    Bien belle fiche, je te valide miss !

    Enjoy :3'
Contenu sponsorisé
MessageSujet: Re: Angelya (Enfin fini !) Angelya (Enfin fini !) Icon_minitime
Page 1 sur 1

Sujets similaires

-
» Lean [Fini].
» Seishin Ijõ [Fini]
» Une Yankees de plus! o/ [Fini]
» Nono est arriver ! (fini)
» Lily Bradford (fini ♥)

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Académie Manga RPG ::  :: Toutes Bonnes Choses ont une Fin :: Administratif :: Les Fiches de Présentation.-
Créer un forum | ©phpBB | Forum gratuit d'entraide | Signaler un abus | Forum gratuit