Kono Mitsune

(c) CRÉDIT - FICHE

about You ? 16 ans, Bisexuelle, double faces & fourbes ~ Un petit quelque chose sur vous? Je suis tous simplement moi, Surnom: Kitsune... 3 Qualités 3 Défauts . Honnête. Gentille. Serviable. Gourmande. Timide. têtue.

Je possède de grands yeux violet claire pressants, qui contraste avec ma peau pale et mes cheveux blonds, assez long, souvent détaché (ou presque ).. Je n'ai pas vraiment de style vestimentaire défini, mais j'ai toujours mon ruban rouge avec moi. Le rouge reste la couleur dominante de mes vêtements... J'ai une silhouette plutôt affinée et suis d'une taille plutôt normal pour mon age. Je reste assez mignonne dans le genre...

je suis assez timide, et encore plus lorsque cela se passe devant beaucoup de monde... Mais, par contre, face a mes amies, mes proches, je suis assez à l'aise. Je suis plutôt sage, mais je peux m'avérer active quand je le veux. Je suis aussi polie avec tout le monde et mâture ; je suis vraiment très à l'écoute des autres. Je fais vraiment attention aux petits. Même les enfants qui me sont totalement inconnus, j'y fais gaffe. Je suis vraiment bornée, mais très peu susceptible. Je ne suis pas maniaque, même si j'aime vraiment ranger.

Je n’ai pas vécu spécialement dans la joie et la bonne humeur. Quand j’étais petite, un lourd secret caché par tous les membres de ma famille pesait sur mes épaules.

Un jour quand j’avais huit ans, ma mère qui était dans le jardin me laissa seule dans le salon. Je m’ennuyais, j’avais terminé mon dessin et je regardai autour de moi avec curiosité, lorsque mon regard se posa sur le secrétaire blanc de ma mère. Soudain je me rappelai que ma mère cachait une jolie boite noire dans ce meuble. Alors il me prit l’envie irrésistible de savoir ce qui était caché dans ce coffret mystérieux. Discrètement j’allais donc voir par la fenêtre si ma mère était toujours occupée à tailler ses rosiers. Rassurée, je me dirigeai vers l’objet tant convoité. Je me souvins tout à coup que, sur le trousseau de clé de ma maman, deux petite clés de la même couleur noire que la boîte était toujours attachées. Aussitôt je filai dans la chambre de ma mère, ouvris le sac et détachai une des deux clefs, espérant que ma mère n’y ferait pas attention. Je me dirigeai vers le bureau blanc de ma mère pour ouvrir la fameuse boite noire. J’y trouvai une seule lettre signée par mon oncle…

J’entendis la porte du jardin s’ouvrir et remis précipitamment la lettre dans le coffret et la boite dans le secrétaire. Mais j’avais eu le temps de la lire. Ma mère entra dans le salon. Je me remis à dessiner tranquillement. Elle regarda le meuble et je remarquai une lueur de doute dans ses yeux. Je commençais à paniquer lorsqu’elle tourna le regard vers moi. Elle ne me dit rien mais ouvrit le meuble et emporta la boite dans sa chambre pour vérifier si la lettre s’y trouvait encore. Elle revint dans la pièce et remit la boite à sa place. Elle se rendit compte que je n’étais plus là.

J’étais sortie dans le parc pour réfléchir à ce que je venais d’apprendre. Lorsque je suis revenue à la maison, ma mère m’interpela dans l’entrée et me dit de venir dans le salon pour me parler. Elle m’expliqua que mon père n’était pas seul quant il mourut dans un accident de voiture, comme je l’avais toujours cru jusqu’alors. En fait, elle était aussi dans la voiture avec mon père et mon oncle. Ils revenaient ensemble d’une fête et c’était mon oncle, ivre, qui conduisait lors de l’accident. Ma mère me révéla aussi qu’elle était enceinte de moi à ce moment là mais qu’elle attendait des jumeaux. Elle avait failli perdre les deux. Je fus sauvée de justesse à la maternité mais celui qui fut quelques instants mon frère jumeau mourut à la naissance. J’étais choquée ; pourquoi m’avait-on caché la vérité si longtemps ? C’était pour que je ne déteste pas cet oncle que ma mère avait gardé ce secret. Elle pensait que c’était l’ivresse qui avait tué son mari ainsi que son fils, plus que son propre frère même s’il en avait été l’instrument. D’ailleurs mon oncle n’avait plus jamais bu depuis qu’il avait commis cet acte dont il lui demandait pardon dans cette lettre secrète.

Je n’avais connu mon père qu’à travers des vidéos comme celle du mariage de mes parents. Je compris alors que ma mère avait surtout voulu me protéger et éviter que je ressente de la haine pour mon oncle qui se sentait déjà extrêmement coupable. C’était donc sans doute mieux comme cela. Jusqu’à maintenant, je vis bien malgré toutes ces histoires, aidant ma mère dans les taches quotidienne et la soutenant moralement. Je comprends pourquoi j’ai longtemps pensé être une enfant à problèmes pour elle. J’ai compris par la suite que ce n’étais pas le cas.

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Je n'ai pas le temps de lire ta fiche mais je te souhaite bonne chance pour la suite :3'