5 LIGNES MINIMUMS Riko est une fille très belle et qui grâce à sa attire l’attention sur elle. Riko est une fille d’une taille assez normal pour son âge, elle mesure 1.63 mètre. Elle à de grande jambe, fine et belle en plus. Riko à une poitrine pour le moins grosse qui la gêne un peu
quand elle met des habits qui collent. Ses bras sont fins, et ses mains sont d’une finesse et d’une douceur magnifique. Ses traits de visage sont simples, ses grand yeux bleu peuvent nous faire penser à la nuit, sa bouche avec ses lèvre fine sont tout bonnement magnifique. Riko à de long cheveux noir, qui sont lissent de nature sauf deux mèche de cheveux qui sont bouclée de nature. Elle à une frange et porte toujours un sert tête pour laisser devant ses deux mèches bouclées. Riko à une peau très blanche qui laisse facilement voir les bleus que son père lui fait en la frappent. Mais les bleus disparaissent au fur et a mesure que le temps passe mais par contre une seule marque ne partira jamais, c’est la cicatrice que son père lui a faite qui se trouve sur sa hanche gauche. C’est donc pour cela que Riko évite de se mettre en maillot de bain pour éviter que l’on voie sa cicatrice qu’elle-même ne peut pas supporter de voir. Elle toujours habillée avec une mini jupe et des tuniques qui colle un peu. Elle met le plus souvent des bottes avec un petit talon.

5 LIGNES MINIMUMS Riko est une fille mignonne, attentionnée et pleine
d’énergie. Riko n’est pas due genre à faire le premier pas, elle est certes populaire mais n’aime pas qu’on attende d’elle énormément. Elle se contente de vivre et de profitée autant qu’elle peut d’être avec ses amis. Riko ne s’énerve pas souvent sauf quand on s’en prend à un de ses amis ou à Daisuke « son frère» mais aussi c’est la personne qu’elle aime. Elle à beau très bien le cachée au fond d’elle Riko aime Daisuke mais ne le dit et ne le dira surement jamais de peur qu’il la rejette. Malgré sa Riko vit plutôt dans la joie et ne montre pas quand elle est triste ou en colère, elle garde sa pour elle au fond de son cœur. Riko malgré les apparences aime bien de temps à autre se retrouver seul pour réfléchir un peu, et remettre de l’ordre dans son esprit.

10 LIGNES MINIMUMS Riko Aihara est une jeune fille né au Portugal d’un père Portugais et d’une mère Française, elle a vécu toute son enfance au Portugal pas très loin de Porto. Bien que ses parents vivaient ensemble, ils n’étaient pas mariés car le père de Riko n’avait jamais demandé la main à la mère de Riko. Riko a vécu une enfance très bien car non seulement elle habitait dans un grand pavillon et en plus sa mère était mère au foyer, Riko l’avait toute la journée pour elle. La mère de Riko lui chantait souvent une chanson que Riko adorait
particulièrement. La mère et la fille passait leur journée à chanter. Riko disait toujours tous à sa mère, comme quand elle sortait avec un garçon pour la première fois. Elle s’entendait bien avec son père aussi et même de temps en temps, ils se faisaient des journées rien que eux deux.


La petite vie tranquille que menait Riko se terminait pour d’un coup, d’un seul. C’était quand Riko avait 14 ans, elle avait vu son père avec une autre femme. Quand elle était rentrée elle l’avait tout de suite dit à sa mère car elle ne voulait pas lui cacher. Résultat, la mère disparut le lendemain même et avait juste laissé un mot « Je retourne dans mon pays, adieu. P.S : Désolée Riko de te laisser mais je ne pouvais pas t’emmener. » Riko n’en voulu jamais à sa
mère mais par contre son père passait dû coup ses nerfs sur Riko en la
frappant. Au début ça n’était rien de bien grave, mais par la suite elle
commençait à avoir des bleus. Il avait interdit Riko d’avoir de petit copain, au début elle ne l’écoutait pas et cela fini très mal. Il ne supportait pas la voir sourire alors un jour il avait invité le petit copain de Riko et l’avait frappé à la joue, le jeune homme ne voulu plus jamais la revoir.
Après un peu plus de deux mois de souffrance seule contre son père, elle déménagea en Espagnedans une belle maison qui allait être pour son père, elle et la femme de son père. Quelque jour après leur arrivés, sa belle-mère arrivait mais elle n’était pas seule, elle était venu avec son fils Daisuke d’un an de plus que Riko. Riko était désormais entre les mains de son père et de sa belle-mère, dans une ville qu’elle ne connaissait pas, elle allait être dans un collège où elle ne connaissait personne et surtout elle ne pourra plus voir sa mère.
Ils étaient arrivés pendant les vacances d’été pour que tout le monde s’habitue avant de reprendre une vie de travail et d’école. Quand on ne vie pas avec eux, on pourrait penser que tout se passer à merveille dans cette famille recomposer mais en faite c’est tout le contraire. Le père de Riko la frappait dès qu’il trouvait une raison même si se n’était qu’un tout petit détaille de rien du tout et au début personne ne savait mais Daisuke le su bien vite car un jour, il l’a força à venir avec lui à la piscine. Daisuke essayait d’aidé Riko mais lui aussi fini pas se faire frapper pas sa mère et par le père de Riko, et cela faisait mal à Riko car elle l’aimait plus que bien. C’était pour elle un peu plus qu’un frère. Riko ne tenait pas le coup comparer à Daisuke qui tenait mieux, Riko disait tout à son père croyant que sa le calmerait mais c’est le contraire qui se passait. Quant à Daisuke il cachait tout et se faisait moins frapper.
Un soir tout bascula, Riko était rentré avec un de ses ami garçon, arrivé devant chez elle, elle lui dit au revoir et lui l’embrassa sur la bouche puis partit après lui avoir dit au revoir aussi. Riko ouvrit la porte et entra dans la maison posant son sac.

-Coucou ! Je suis rentrée.

Le père de Riko lui sauta dessus et la frappa, il prit un bout de verre qui venait de la fenêtre qu’il venait de casser. Riko partit en courant dans le salon mais il l’a rattrapa et comme elle n’arrêtait pas de bouger, il l’a coupa profondément. Lui partit pendant que Riko en larme mis ses mains sur sa hanche gauche. Quand Daisuke rentra et qu’il vu l’état dans lequel Riko était, il lui dit de monter dans sa chambre avec de quoi désinfecter et soulager sa blessure. Il lui fit aussi promettre de ne pas ouvrir la porte, même sous les menaces de son père, et de bloquer derrière son armoire, pour rendre plus difficile l'enfoncement de la porte si il allait jusque là. Il lui dit de lui ouvrir qu'à lui, quand il viendrait seul le plus tôt qu'il pourrait.Elle monta comme il lui avait demandé, elle passa par la salle de bain pour prendre du désinfectant et un gan d’eau froide. Elle s’enferma donc dans sa chambre et mis son armoire devant sa porte pour la bloquer. Elle se mit sur son lit et désinfecta sa blessure, elle attendait avec impatience que Daisuke vienne toquer à sa porte. Après un petit moment Daisuke toqua à la porte de la chambre de Riko, elle poussa son armoire et lui ouvrit.

Il entra vite et remis l’armoire devant la porte, il lui expliqua qu’elle devait faire sa valise vite en emportent le stricte minimum. Elle fit vite sa valise et la posa sur le lit, elle n’était pas très rassure mais Daisuke la rassura de quelque mots puis il ouvrit la fenêtre et les volets en bois et regarda de Riko en lui disant si elle était prête. Elle répondit un oui, mais la peur si lisait dans ses yeux. Daisuke laissa tomber les sacs par la fenêtre, puis s'empara du drap, qu'il noua avec un autre. Il attacha une extrémité fermement à la fenêtre. Il monta sur le rebord de la fenêtre et descendait. Riko ne tarda pas à descendre à son tour, et une fois en bas, Daisuke lui attrapa le poignet et partit en courant, l'entraînant avec lui, espérant partir assez loin pour oublier l'enfer qu'ils ont vécu ici, l'enfer et la souffrance. Ils coururent pendant une dizaine de minutes, jusqu'à épuisement. Après avoir soufflés un peu, ils repartirent, et arrivèrent bientôt à la gare non loin de chez eux. Daisuke acheta deux tickets de train pour aller en France, espérant partir assez loin de leurs parents pour ne pas qu'ils les retrouvent. Quelques heures plus tard, arrivés à la gare, ils se mirent à la recherche d'une académie, où ils pourraient reprendre les cours et être logés, loin de la souffrance de leur maison familiale en Espagne.