Face à un grand mirroir, Hiroko se redécouvre. Elle s'admire, ses longues mains blanche caressent et effleurent les bordures suclptées du mirroir qui, à vue d'oeil, était très ancien.

Son regard envoutant d'une couleur aproximative du gris et du bleu s'observaient. Ces derniers se baladaient sur l'étendue du mirroir, fixant chacuns de ses détails. La jeune femme s'attrada sur ses cheveux d'une couleur assez excatravagante : Rose. Mais attention, pas un rose très flashy, loin de là, un rose pâle, un rose léger. Un rose incarnant la finesse. Ses cheveux lui arrivent environ au niveau de ses épaules. Elle possède des boucles légères, épousant son épaule gauche. Quelque mèches viennent souvent lui voiler son sublime regard. Cependant, ce dit voile rose ne gâche pas son visage triangulaire, mais l'embellit. Cette mèche cache cependant le petit nez de la jeune rose. Petit nez discret, qui laisse place à de sublimes lèvres, légèrement pulpeuses et délicatement rosées par le plus grand soin de Mère Nature.
Cela dit, retournons au sujet des cheveux d'Hiroko. Bien évidemment, ce n'est pas sa couleur naturelle. De base, Hiroko possède une cheveulure noire comme le jais. En étant plus jeune, elle eu sa periode cheveux colorés. Elle est passée du noir à roux, roux à légèrement rouge, et rouge à rose, qu'elle ne quitte plus d'ailleurs. Elle s'est rendue compte que cette couleur lui allait à merveille.

Doucement, Hiroko retira sa main délicate de la bordure. Elle fit un pas en arrière, pour voir en intégralité sa silouhette. Elle laissa ses bras finement musclés le long de son corps si fin. Elle observa ses formes, visiblement généreuses et bien proportionnées. Elle osa ensuite soulement son chandaille rose pâle pour jetter à son ventre plat. Un ventre si plat et blanc, comme tout le reste de sa peau, sans aucune impurtée. Lorsqu'elle replaça son chandaille, son regarde se porta sur ses jambes. De longues jambes qui porte ses cinquantes kilos tous mouillées et son mètre soixante-neuf. Jambes qui portent une personne qui est relativement dans la moyenne des jeunes femmes japonaises. Jambes, elles aussi, finement musclées.

Elle fit un tour sur elle-même, laissant sa douce chevelure voler. Maintenant dos à cet immence mirroir, elle tourna quelque peu la tête pour que son menton épouse son épaule, et que son regard puisse se refletter dans le dit mirroir. Elle regarda son dos, fin, finement recouvert de son chandaille rose pâle. Un dos qui laisse apparaitre des hanches qui s'pousent à la perfection avec son fessier. Un petit sourire amusé prend donc place sur ses douces lèvres. Hiroko se tourne une nouvelle fois, se retrouvant de profil cette fois-ci, afin d'admirer sa taille fine. Cette petite taille qui a endurée beaucoup de d'entretient pour ce resulta-ci.

La jeune femme semble fière d'elle. Elle fais donc dos face au mirroir, avant de quitter la salle, les murs recouvèrent d'un papier-pain gris au motif viellit.

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