Bella Kasuke est une grande femme élancée, au corps sculptural. Le visage est fin et les traits sont réguliers. Une longue chevelure rousse parsemée de boucles et des yeux d'un bleu d'azur, mettent en avant une peau de nacre, des lèvres d'un rose pâle naturel et un sourire éblouissant. Bella a une taille de guêpe qui soutient une poitrine ferme et généreuse qu'elle enjolive de robes moulantes qui soulignent élégamment ses courbes Malgré sa grande taille qui lui vaut souvent le nom de grande asperge, Bella ne laisse pas indifférent, elle captive.

Comme tout être humain, Bella a des défauts et des qualités.  Certains la disent lunatique, car son humeur peut se dégrader facilement pour un mot mal placé ou pour un geste malvenu. On la dit aussi têtue et grande gueule, c'est la vérité. Elle n'aime guère qu'on lui marche sur les pieds ou que l'on se montre hautain ou méprisant avec elle, elle a vite fait de remettre ces personnes à leur place.

Pourtant, elle a aussi ses qualités. Hormis son côté rentre dans le lard quand on la cherche, Bella est assez accessible, amicale, ouverte d'esprit, fêtarde et joviale. Elle aime la simplicité et peut être toute aussi douce, qu'être un vrai volcan doublé d'une peste. Alors méfiez vous, les roses ne sont pas simplement belles à regarder, elle sont aussi épineuses.

Bella Kasuke est une jeune femme de dix-neuf ans ayant grandi au Japon. Séparée de sa famille dès sa naissance, la jeune femme n'a jamais connu ses parents biologiques. Elle grandit dans une famille adoptive et apprendra par la suite que ses parents naturels d'origine Française trop pauvres, ne pouvaient subvenir à ses besoins et qu'ils avaient du se séparer d'elle pour l'offrir une meilleure vie. Mais Bella ne se sentait pas à sa place dans cette famille adoptive et la raison de son adoption ne fit qu'aggraver son instabilité mentale d'adolescente révoltée. Elle se drogue, traine avec des voyous et au final, à seize ans elle fugue avec un jeune garçon.

Cette idylle dure un an, car Shen possessif et jaloux à cette époque, se met à lui cogner dessus. Parfois il frappait si fort, qu'elle souhaitait la mort comme délivrance. Mais un jour, prenant son courage à deux mains, elle décide de partir, change de ville et finit par devenir mannequin.