5 LIGNES MINIMUMS
De loin je ressemble très certainement à une jeune étrangère de 19 ans au regard perdu et peut-être dérangeant. Mais physiquement pas désagréable à regarder : Avec mes longues jambes que j'expose souvent en mettent un short, une salopette courte ou encore une jupe ; mon buste fin bien que légèrement muscler porte une petite poitrine ronde, Ainsi que mes cheveux noirs coupez ni trop long ni trop court.

Vous voyez simplement une adolescente un peu garçon manqué égratignée de la tête jusqu'aux pieds, qui s'habillent avec des vêtements larges parfois de fille et parfois de garçon, vêtement qui la plupart du temps son troué ou bien décoloré. Mais vous percevez quelque chose en moi qui vous dérange.

Et bien vous n'avez pas tort, car si vous examinez bien mon cou, une pomme d'Adam y trône bien quel sois peu visible, elle est tout de même présente. Heee oui ! Je suis un garçon qui Grace à son visage fin et son physique un peu frêle, ce cache derrière cette apparence de femme et qui se sert d'un soutien gorge rembourrée comme d'une armure. Désoler de vous avoir trompé !

5 LIGNES MINIMUMS
Malgré mon travestissement, je reste un garçon et me comporte comme tel. Il m'est rare de parler de moi au féminin sauf par inadvertance ce qui peut m'arriver comme au plus poilu des hommes.

A part ça je suis quelqu'un d'amical et ouvert d'esprit, je ne juge pas la différence. Se serait hypocrite de ma part !
Dans la vie privée je suis assez facile à vivre si on oublie mes bizarreries et mon penchant pour la provocation.

Je suis un bavard cependant si vous me parlez à table avec un steak dans votre assiette, arrêté tout de suite cet effort inutile. Tout mon esprit sera obligatoirement rivé sur votre plat, vous l'aurez compris la viande rouge est mon plus grand péché mignon. (Je m'excuse auprès des végétariens et autres qui pourraient être blessées ou dégouttés en ayant lue cette phrase ci-dessus.)
J'adore l'escrime, je pratique cette activité depuis mon enfance et je suis plutôt bon avec une épée. Par contre ma vraie passion après le steak, c'est le dessin mais là on ne peut pas dire que je sois doué !
J'aime aussi travailler et apprendre que soit ce dans le domaine scolaire ou professionnel.

Maintenant venons en aux défauts. Bien que mes insultes soient innocentes et pathétique du genre : « Sale pot de miel séché » ... Oui je sais pathétique est bien le mot ! Je suis de nature violente, donc si un jour je n'arrive pas à contenir ma colère et que je casse quelque chose ou, que vous devez m'emmener à l’hôpital car j'ai donné un coup de boule à un pilier de béton (oui, c'est déjà arrivé... !) Je m'en excuse d'avance. Rassurer vous je m'en prends jamais aux êtres vivent ! Mon plus gros défaut reste ma fascination pour le vole, j’excelle dans cette matière et dé que je le peux je m’exerce. Néanmoins tout ce que je vole, réapparaît d'une manière ou d'une autre enfin… ça reste en mon bon vouloir.

10 LIGNES MINIMUMS
Mon histoire commence avec celle de Lynda ma mère : une jeune fille de bonne famille douce, naïve et fragile. Qui avait pour seul rêve de mettre au monde quatre petites filles. Au début tout ce passait comme elle se l'était imaginé. Elle fut mariée à son voisin un bel homme travailleur et qui adorait les enfants. Mais ma mère ne donna naissance qu'as quatre garçons : le premier Rodolphe (rien avoir avec Rudolph le renne au nez rouge !) Fut immédiatement rejetez à sa naissance, ma mère ne s'en occupera jamais préférant l'oublier pour la déception qu'il lui avait causée. Le second Irvin eu un accueille plus chaleureux ainsi qu'Eddie le troisième. Même s'ils ont du subir les nombreuses crises de notre mère devenue dépressive et hystérique.

Deux ans plus tard notre père eu une grosse promotion et toutes la famille due déménager à Ettelbruck au Luxembourg. Ce qui le ravie permettant à sa femme de nouveaux enceinte de changer d'aire et de repartir sur de nouvel base, car selon les médecins l'enfant qu'elle portait était une fille. Mais vous connaissez le toubib ... ces êtres aux longues années d'étude c'était trompé et je suis née : un joli garçon de deux kilos six. Je suis sûr qu'as l'annonce de mon sexe mon père a entendue un : « Crack ! » dans l'esprit de ma mère. Car tous ses plombs ont explosé ce jour-là. Et c'est d'une façon tout à fait rationnel qu'elle décida de m'élever comme l'une des filles qu'elle avait toujours voulue avoir.

J'ai donc grandi comme une fille : je parlais de moi au féminin, jouai à la dinette et aux Barbie etc… Puis vin mon premier court d'SVT où j'ai appris que ce qui avait entre mes jambes faisait de moi l'inverse de ce que je pensais être. C'est la qu'interviens mon grand-frère Rodolphe qui m’expliquas toute l'histoire même si à l'époque je n'avais pas tout compris. Il m'enseignât l'escrime et tout le reste. Bien qu'il était celui qui avait le plus de raisons de me détester ce fut mon seul soutien dans cette maison de «#@&0* ». Enfin j'ai beau insulté ma famille, en réalité je n'en veux ni à ma mère, ni à mon père ou mes deux autres abrutie de frères même si le rôle de fifille parfaite était dure et fatiguant à tenir.

Je n'ai plus eu à jouer la comédie bien longtemps. Grâce à l'arriver de charment nouveaux voisin, La femme était très gentille ainsi que son mari toujours prêt à rendre service. Et leur fils... Si charment à l'écoute des autres, encore plus gentil que ces parents tout le monde l'aimait dans le coin. Un vrai requin au sourire d'ange ! Il lui fallut qu'un an pour faire en sorte que ma mère retombe dans la réalité et se rend compte que je suis un garçon sans qu'il aille à se mouiller. Résultat des course mon père me mit à la porte car, ma mère se tapait des crises d'alu dé qu'elle me voyait.

Je n'aime pas trop parler de ce passage de ma vie donc je vais omettre les détails et passer à la suite. Une fois à la porte Rodolphe en bon frangin, me confia à l'un de ses potes. C'est lui qui m’appris l'art du vol et avec qui j'ai voyagé de squatte en squatte. C'est dans l'un d'eux d'ailleurs que j’ai entendu parler de l'académie. Donc me voilà Lude Xiphias qui ne parle plus de lui au féminin et qui ne joue plus au Barbie mais, qui ne peut se débarrasser de sa coquille de fille. Qui sais j'arriverai à la retirer ici peut êtres.