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| Sujet: Dante Sparda, pour vous servir en son âme et conscience Dim 22 Juil 2012 - 19:36 | style="border: 1px dashed #E2D3C3 ; -moz-border-radius: 10px ; padding : 0px"> | PRENOM & NOM ”Let's rock !” NOM : Sparda PRÉNOM : Dante SURNOM : Vous pouvez en trouver ÂGE : 22 ans GROUPE : Adulte DATE DE NAISSANCE : 8 aout ORIGINE(S) : Italien de naissance ORIENTATION SEXUELLE : Je m'aime, c'est déjà bien ? *SBAAAAAAAF* Hetero mesdemoiselles
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PHYSIQUE 5 LIGNES MINIMUMS Ce que vous pouvez voir en me regardant, n'est pas bien difficile à désigner, mais je vais vous le dire tout bonnement, pour ne pas avoir à trop réfléchir et ne pas non plus vous faire trop d'idées, car ce n'est pas beau de trop rêver non plus. Donc vous avez face à vous un jeune homme d'environ vint huit ans face à vous, je ne les fais pas réellement vu les traits de mon visage mais de ma taille, on peut voir un homme atteindre les deux mètres, avec une musculature assez saillante, mon poids n'est pas composé de beaucoup de graisse, on peut surtout voir dans mes bras, mon torse, et mes jambes, des muscles bien travaillés par les entraînements. Si l'on remonte plus haut au niveau du visage, on peut remarquer des cheveux argenté d'une couleur assez rare, une couleur qui penche plus vers la brillance et la douceur, car quand on les regarde avec une certaine luminosité, ils ressemblent plus à du blanc que à de l'argent. Plus bas, au niveau de mon visage, on peut voir deux lueurs bleu, de couleur glace, mes yeux ne sont pas aussi les plus courants car selon le surplus de colère ou selon la situation, ils peuvent changer de couleur et passer du bleu à un rouge sanglant, rouge comme le sang, assez froid et profond. Le reste du visage montre surtout un visage souriant, car on peut la plupart du temps voir un sourire sur ce visage, ce qui fait que il y a quelques marques de ces sourires, ils ne sont jamais forcés mais je montre quand même une grande joie même quand je ne souris pas, ce qui adoucis mon visage.
Maintenant si l'on arrête de regarder seulement mon corps et que l'on regardait plus précisément mes habits car bien heureusement, je ne me ballade pas nu comme un ver, sinon je pense que ça n'irait pas dans mon village, c'est déjà surprenant de voir un homme de deux mètres alors si j'étais nu, ça serait l'apocalypse, une surprise plus que totale. Je porte un haut noir et une sorte de pantalon en jean, enfin dans ce style là allant jusqu'à mes pieds, surmontés de quelques zones rouge que j'ai rajouté avec l'aide d'une couturière de mon village, sous ce jean, je porte des bottes de bonnes qualités, me permettant de marcher facilement dans toutes les zones sans avoir plus de difficultés, c'est une aide assez conséquente surtout quand on sait que l'on doit marcher dans la boue et quand on doit se battre aussi. Mis à part ça, je porte un long manteau rouge assez beau, me permettant de transporter bien des choses, disposant de nombreuses poches et de plusieurs lanières en cuir à l'arrière pour porter quelques affaires tel que des sacs et tout ça. Mais ce manteau est assez fonctionnel et l'on ne peut savoir à l'avance ce qu'il y a à l’intérieur, je l’enlève très peu quand il y a des personnes autour de moi, des choses très importantes à mon cœur se trouvant dedans.
Ensuite lorsque l'on ne prends pas en compte la simple apparence physique, mon sourire montre souvent bien ce que je pense, la plupart du temps, c'est un sourire joyeux, un sourire montrant une joie non dissimulable comme si la vie était un jeu pour moi, une façon de ne jamais m'ennuyer alors que parfois la vie est difficile, je montrerais toujours un sourire de façon à ne rien regretter. Mais lorsque la colère se met sur mon visage, on peut voir un changement radical, un sourire parfois plus vicieux, une position du corps plus sur encore, moins décontracté et des yeux d'une couleur rouge sang, à glacer la dite chose, ce n'est pas évident de le raisonner quand il est comme ça et il est capable de beaucoup de choses dans cette situation. Mais quand il n'est pas en colère mais surtout très heureux, ça peut arriver que ses yeux virent au violet, chose très rare que peu de gens ont pu voir, il y a bien des secrets sur cette couleur car elle n’apparaît que très rarement mais elle arrive parfois quand il est triste, c'est pour cela qu'elle n’apparaît quasiment jamais, car il fait tout pour ne pas se souvenir de moments tristes et pour être une personne toujours souriante. Un plaisir de voir son sourire et une «aura» chaleureuse tourne autour de lui habituellement, son sourire a la faculté de donner le sourire aux gens qui sont avec lui.
MENTAL 5 LIGNES MINIMUMS Maintenant, je me dois de vous expliquer comment je suis mentalement, c'est une sorte d'interrogatoire en fait, mais je suis d'accord pour répondre à ces questions, tant que je suis d'accord, vous pouvez être fier, vous allez en apprendre un peu plus sur moi, ce n'est pas donné à tout le monde d'en savoir plus mais je suis prêt dorénavant. Première chose que j'ai à vous dire, j'ai la tête sur les épaules, même si mon sourire peut paraître niais de temps à autres, il y a quand même une grande intelligence et parfois quelques plans derrière mes sourires, jamais rien de bien fourbe mais tout de même, il y a une petite once de réflexion dans certaines de mes actions, je sais me battre mais je sais aussi réfléchir comme les navigateurs, les mathématiciens et tout ça, j'ai de quoi rendre jaloux parfois quelques personnes. Cette intelligence a été mise en place avec le temps à force d'étudier, de trouver des solutions pour aider à la reconstruction d'une ville détruite, ce n'est pas un cadeau de Dieu que l'on 'ma donné, juste une façon assez dure de trouver une intelligence enfouie en moi, j'ai toujours eu les moyens à ce qu'on me disait mais ça ne fait pas de moi un surdoué, juste un homme qui a travaillé pour. Cette intelligence n'est jamais utilisé à mauvais escients c'est pour cela que l'on ne me verra jamais faire de plans machiavéliques ainsi, c'est tout le contraire de moi si je commençais à en faire.
Mais si on commence à me connaître, je suis un homme avec un caractère en or, j'adore faire rire les gens et même si je suis un combattant, je suis le premier à vouloir faire des conneries, c'est la chose qui fait que je me sens vivant, si je ne pouvais m'amuser ni faire rire les gens, je ne pourrais pas vivre aussi aisément que dorénavant alors si on me voit sans sourire sur le visage, c'est que je m’apprête à me battre. Car quand je commence à me préparer à un combat, mon regard est légèrement plus dur et si la raison pour laquelle je me bat est celle où je dois protéger les gens qui me sont chers et bien, mon regard est profondément froid comme la glace et je suis capable de faire des horreurs pour que les gens n'aient aucunes douleurs et que je ne sois pas en deuil une seconde fois dans ma vie. C'est aussi pour cela que j'adore passer du temps avec les autres, ça me permet d'oublier en grande partie mes peines et aussi d'aider les gens à sourire encore plus, c'est ainsi que j'aide les gens à se sentir mieux, même si je sais me battre, j'ai un grand cœur à ce que l'on m'a dit et pour toujours, j'adore faire rire les gens, car le rire des gens est la meilleure manière de se détendre pour moi, ainsi on voit un homme amusant et amusé chaque jour en ma personne. C'est comme ça que je vis, en profitant de la vie chaque jour.
HISTOIRE 10 LIGNES MINIMUMS - Spoiler:
[Flashback de ses huit ans]
Une petite ville sans grandes attirances on peut le dire,ce n'était pas la ville idéale si l'on voulait une vie mouvementée mais pourtant,dans cette ville vivait une famille des plus particulières,une famille qui s'était parfois caché pour éviter les ennuis dû au fait de leurs origines pas obligatoirement bien vu. Non pas par le racisme mais par la religion,il faut dire que le père de famille avait fais naitre deux albinos,un du nom de Vergil,l'autre du nom de Dante,bizarre comme prénoms n'est ce pas ? Et bien oui,étant donné que ce sont deux des prénoms se rapportant a l'enfer,l'un étant le poète des enfers et l'autre l'architecte,c'était une vision d'horreur que l'on pouvait voir a l'Église quand l'on parlait d'eux. C'était un sujet tabou et c'est pour ça que cette famille était légèrement reclus vers la foret,un petit manoir particulièrement beau on va dire,c'était le manoir qui était censé maudit dans la ville,dû au fait de son nom,notre nom de famille pour tout dire...ah et j'ai oublié de les présenter,vous avez face à vous la famille Sparda.
Une petite après midi d'été était en train de se préparer,Vergil et Sparda le père de famille étaient en train de préparer la voiture pour pouvoir allé pique-niquer, Eva la femme de la famille était en train de s'occuper de préparer de bons petits plats pour la petite aprem tranquille et Dante ? Bah lui,c'était un peu sa préparation du «siècle» à ses yeux,mais de quelle préparation ? Bah oui,car ce n'est pas un cuisinier ce gamin,c'était plutôt un créateur car ce qu'il préparait,ce n'était pas une chose que un gamin de huit ans pouvait faire aisément...enfin pourquoi je parle comme ça en fait ? Je parle de mon passé comme si je n'étais pas la même personne que à mes huit ans,J'avoue que il y a eu des bouleversements,que tout a changé quelques années après mais je ne peux pas dire que c'est si mal, il faut bien construire sa vie sur des bases solides et j'ai eu le droit a ses bases. Mais il ne faudrait pas m'égarer,ce projet qui me tenait tant a cœur,c'était deux objets que je possède encore,Ebony et Ivory sont leurs noms.
J'arrive alors en courant ayant finalement fini les deux «jumeaux» ayant fais deux pistolets reflétant mon âme et celle de Vergil mon frère jumeau,car oui malgré tout,la chose encore plus troublante était que moi et mon frère,nous étions des jumeaux parfaits. Moi j'avais hérité du pistolet blanc du nom de Ebony et lui était la partie noire du nom de Ivory,c'était particulier mais on pouvait dire que c'était assez ressemblant de la réalité,moi étant un peu plus faible que lui dans ma jeunesse,ne voulant jamais faire de mal aux autres. Tout a coup un sifflement se fit retentir et l'on courrut tous les deux à la même allure vers la voiture,allant nous installer derrière avec rapidité,cachant vivement nos deux armes dans nos affaires pour ne pas se faire enguirlander par notre père et notre mère. C'était sûr que moi j'avais un peu peur de ça mais Vergil lui était un peu plus arrogant,c'était ça qui me permettait de devenir de plus en plus fort.
Le trajet fut assez rapide étant donné que nous étions très près d'un grand parc qui n'appartenait ni a la ville,ni a un propriétaire privée,elle était un peu l'endroit idéal pour profiter d'une bonne aprèm de détente. Je sortis alors de la voiture avec mon père et tous les deux,l'on prit alors les affaires,allant préparer un petit espace a nous délimité par un «drap» pour manger. L'on mit alors les petits plats avec la nourriture,les pizzas et les desserts sur le drap,tout souriant,pendant que Vergil s'amusait a tester son nouveau pistolet sur des petits animaux ou sur des cibles improvisés étant les arbres ou des choses comme ça,n'étant pas vraiment des choses que l'on pouvait dire gênant. Même si les petits animaux n'avaient rien demandé,il se débrouillait déjà assez bien avec,n'étant pas un tireur d'élite tout de même. Juste un jeune garçon étant assez habile pour tirer de façon vive. Tout à coup,maman appela tout le monde pour se rassembler,ayant mis en place un appareil photo pour une petite photo de famille,ce qui n'était pas assez présent a la maison.
Moi et Vergil,on se mit a côté de notre père qui était un genou a terre pour se mettre à notre niveau,pouvant nous permettre d'être pour la première fois un peu plus grand que lui,nous faisant sourire tout joyeux,de le battre. Maman se mit alors derrière Sparda et posa ses deux coudes sur sa tête,l'ébouriffant un peu et la photo se prit alors,nous permettant de se remettre alors sur le drap,pouvant enfin déguster les délicieuses pizzas et desserts préparés par maman,c'était la meilleure chose possible au monde ! Je me mis alors sur le côté le plus près d'autres personnes présentes qui ne nous ignoraient pas mais qui nous regardaient avec haine,j'évitais bien évidemment de les regarder droit dans les yeux,ça me permettait de ne pas avoir peur des représailles. La famille se mit alors a manger mais une chose empêcha le repas de se dérouler aussi bien qu'il avait commencé,c'était une pierre qui avait heurté mon bras assez violemment,assez pour me faire saigner mais sans plus.
Je me posa alors sur le drap,me mettant a saigner et ayant les larmes aux yeux,mon frère se posa alors à mes côtés et papa se leva calmement,enlevant son monocle ayant un regard totalement diffèrent de celui que l'on pouvait voir à la maison,c'était un regard rouge qui glaçait le sang de quiconque le croisait,chose que je n'aurais pas aimé faire et que je ne pouvais pas faire. Je me fis alors légèrement remettre droit et Eva commença alors a bander mon bras,après l'avoir légèrement nettoyé,elle pensait toujours à ce qu'il fallait et ce n'était pas obligatoirement un défaut car ceci pouvait arriver n'importe quand. C'était déjà arrivé a l'école par exemple mais Vergil,m'avait protégé une fois de plus,ne pouvant pas me laisser me faire taper sans rien faire. Lui avait le courage de se rebeller contre ce genre de choses,moi je m'étais promis de ne pas me battre...enfin me battre,ce n'était pas un problème mais contrer un minimum,je pouvais le faire sans gênes.
-Tu as un problème avec nous Sparda ? Tu n'as apporté que des problèmes dans notre ville et tu voudrais que l'on soit gentil avec ta famille peut être ? Amènes moi tes fils,je te jure que ils n'en ressortiraient pas indemne....vu combien ils sont bizarres,ils ne peuvent pas être aussi démoniaques que toi...n'est ce pas Chevalier Noir ? Sparda !
-Je ne vois pas de quoi vous voulez parler...je ne vois pas de Chevalier Noir,je ne vois qu'un père de famille et sa famille qui se sont fais attaquer par un père totalement stupide.
Un coup de poing se dirigea vers Sparda mais dans un mouvement d'une vitesse réellement démoniaque,le père se trouva quelques mètres plus loin,s'étant pris un coup dans le ventre assez violent pour lui faire cracher du sang au passage mais surtout pour le faire valser autant. Le jeune fils de cet homme se rapprocha alors de Sparda et se mit a le taper au niveau du genou,voulant protéger son père mais Sparda ne s'en occupa même pas,le poussant juste de l'index,pour le déséquilibrer et le mettre a terre,ne lui ayant rien fais,juste une petite pousse. Il revint alors vers nous et maman souffla calmement,étant soulagé qu'il ne soit pas allé trop loin,car une bagarre avec un démon pouvait vite dégénérer,mais moi et mon frère,l'on n'avait pas compris ses yeux rouges et sa soudaine force mais l'on ne pouvait pas lui demander ça tout de même. On était encore jeunes et on avait pas fini d'en apprendre sur eux.
Le temps se déroula alors toujours aussi bien,Vergil et moi apprirent a nous défendre et à manier les armes a feu et les épées,nous perfectionnant dans tous les domaines,étant coaché par notre père qui nous cachait toujours nos pouvoirs démoniaques,on en savait rien mais on continuait a l'admirer mais le temps changea a l'âge de mes quinze ans,ainsi que pour Vergil. Car notre père et notre mère partirent sans aucunes raisons,nous laissant seuls,nous disant tout simplement adieu a leurs départs,on ne les revu plus jamais,Papa étant parti pour son destin et Maman l'ayant suivi juste pour qu'il ne soit pas seul dans son «sommeil» comme ils avaient dit. C'est à ce moment là que moi et Vergil perdirent le contact,ne sachant plus où l'on était mutuellement,devant faire nous même notre vie. C'est une année après que je compris que Vergil n'allait pas resté sourd a mon état et allait me montrer que il était toujours mon grand frère malgré notre différence....il m'avait même laissé Ivory pour que je ne puisse jamais l'oublier.
-Let's Rock !
[Flashback durant son évanouissement]
Une partie de poker ? Ouais c'était bien ça,le jour de mes quinze ans,je jouais au poker avec pleins d'amis qui s'étaient regroupés pour me faire une surprise et c'était ça,une salle entière de bureau pour jouer au poker,en fait,c'était un Samedi et c'était pendant les grandes vacances alors on n'avait pas besoin de se prendre la tête pour savoir si il allait venir ou pas.Et oui,on était peut être jeunes mais pas totalement cons...enfin je pense pour moi car les autres,des fois j'ai du mal...non je rigole ! Ils sont sympa et un peu foufou,exactement ce qu'il faut pour se faire une bonne tranche de rigolade mais une chose bizarre me faisait tomber de marbre parfois...car le rire laissait parfois place à des regards entre eux,comme si ils préparaient encore un tour pour mon anniversaire.Et oui je rigolais et souriait de façon innocente en les regardant,les faisant aussi rire en passant,mais d'un rire diffèrent,il faut bien l'avouer.Hummm...pourquoi des sourires faux et des rires jaune ?
Je regardais alors ma main et les laissait dévoiler leurs mains calmement,mouais,c'était pas bien fameux quand même,la meilleure chose,c'était une suite a l'as et moi j'avais une chose bien meilleur...ouais pour une fois que j'avais quelque chose de sympa,c'était une belle Quinte Flush que je mis sur la table,les laissant sur le c** à regarder les cartes. Je me levais alors,m'ettirant un peu et les regardais avec un large sourire,me demandant ce qu'on allait faire tout de suite.Bah ouais,quand je m'amusais,il fallait continuer même si c'était assez dur....dur dur quand même parfois de me supporter on peut dire,j'étais une pile électrique...et ça me valait parfois quelques soucis avec mes amis.Bah on pouvait compter sur eux quand même...jusqu'à ce jour fatidique hein ? On me prenait pour un idiot depuis des années et c'est pour ça que je les haïssais toujours autant,depuis,pas de ne m'avoir rien dit...mais d'avoir agi dans mon dos pour faire des actes d'une énorme fourberie...les mensonges entre amis...impossible.
-Ah oui Dante...on a oublié de te dire,aujourd'hui c'est ton anniversaire,on va enfin pouvoir trinquer tous pour toi et on va enfin gagner ce que l'on voulait pour toi...de la bonne fortune et une vision amoindrie de ta personne ! GOOD BYE !
Je le regardais alors avec un air ahuri,n'ayant pas bien compris mais sourit alors,lui faisant un signe de la main pour lui dire au revoir,pourquoi j'avais fais ça ? Pour faire l'idiot et rendre le jeu encore plus palpitant et amusant que il ne pourrait être ? Peut être bien,je ne savais pas moi même,pourquoi je faisais ce mouvement en ce moment mais je compris que c'était bien fini la belle vie avec eux,dommage,on avait pas encore manger le gâteau.Je me pris alors un coup violent a la tête,tombant le visage en sang sur le sol,ayant pris un coup comme si une masse m'avait percuté de plein fouet...et je crois que c'était bien le cas.Je vis plusieurs hommes en noir,sortir des bureaux et s'approcher de moi avec des sourires assez sadiques...que me voulait on ? L'homme le plus près de moi,sourit alors,s'abaissant à mon niveau,me parlant mais je ne comprenais rien,je voyais juste ses lèvres bouger,ayant une incroyable envie de le frapper comme si il se moquait de moi.Ironique comme situation...mais aussi,tordu.
Je me réveilla alors dans un couloir,le couloir a foutre les jetons et j'avoue,j'avais peur pour une fois...l'air était pesant et malodorant,on avait l'impression de sentir la mort nous frôler les narines,c'était une odeur que je connaissais que trop bien.Du sang,cet endroit empestait le sang a pleine narine et la chose la plus troublante,ce n'était pas ça...c'était tous les cris d'épouvante et de souffrance que l'on entendait résonner dans les couloirs.On entendait parfois des rires de maniaque et de psychopathe,mais c'était plutôt à cause du stress que l'on entendait ça en fait.Finalement j'arrivai a une porte,me faisant tenir par deux gorilles assez grands,ouais ils avaient de la chance que je n'ai pas les mains libres ces deux abrutis,car ça n'aurait pas été de refus que je leur aurais mis une jolie raclée.Finalement la porte s'ouvrit et ce qui se cachait derrière me fis avoir des sueurs froides assez importantes,ayant du mal a croire que ce genre de pratique était encore possible,qu'est ce que c'était que ce délire ?
Des bras qui passaient dans les couloirs,de nombreux bras et des cris,pleins de prisonniers et de cris d'épouvante,ils voulaient tous sortir,et je pouvais les comprendre,c'était injuste de les tenir en cage comme des animaux mais je ne pouvais rien faire pour le moment....était ce que je n'avais pas envie de les aider...ou que j'avais plus envie de me sauver que autre chose.Je traversa alors le couloir,marchant en baissant la tête,leurs regards ne me dérangeaient pas,ils avaient peut être pitié que un gamin soit avec eux dorénavant,et oui,quinze ans pour être enfermé avec des adultes de tout age,c'était assez traumatisant,mais moi ? J'étais comme perdu dans mes pensées,ayant perdu la lueur dans mes yeux,était ce l'espoir que j'avais perdu ou juste la colère qui avait envahi mes yeux comme si j'allais sortir de mes gongs et tous les tuer,tous autant qu'ils sont.Était ce la rage qui faisais mes yeux se gorger de sang...ou juste cette couleur rouge qui remplaçait le bleu de mes yeux quand j'étais hors de contrôle...peut être,était ce les deux...seul moi le savait.
Tout à coup,on s'arrêta tous les trois et une porte où un "chirurgien" m'attendait,me regardant avec intérêt,mais mon regard ne se montrait plus aussi vide que tout a l'heure,comme si j'étais devenu une autre personne en le voyant,ce qu'il voulait me faire...ce n'était même pas la peine qu'il essaye,je ne le laisserais pas faire ! Sa main se rapprocha alors de mon visage et dans un soucis de survie,je frappa les deux gorilles a l'estomac avec une force insoupçonné,les faisant se pencher et frappa à la mâchoire l'homme au masque,le faisant tomber contre la porte avec violence,je m'étais entrainé pour frapper plus fort que tout le monde.J'avais une endurance incroyable mais un choc me fit tomber au sol,"raide" ayant subi une grosse décharge électrique,je regarda alors difficilement derrière moi,voyant un homme avec un tazer dans les mains,un sourire sadique sur le visage...l'air qui glacerais le sang de tout le monde normalement mais qui ne me faisait rien.J'avais subi déjà l'enfer il y a bien longtemps,ça n'était pas ça qui allait me faire pleurer ou crier d'épouvante...j'étais peut être un enfant pour eux mais j'étais meilleur qu'eux.
-Tu es vraiment une arme impressionnante,tu le sais ? On va voir ce que tu as dans la cervelle et dans le corps,ça nous fera peut être avoir des infos sur ta force surhumaine et toutes tes aptitudes supérieures ! On va dire que...on va enfin savoir qui tu es réellement après un long interrogatoire ? N'est ce pas ?
Je le regardais alors et souriais d'un sourire ressemblant a celui du diable,un sourire qui montrait toute la haine que je lui réservais si il OSAIT me laisser me relever,a la vue de ce sourire,il me regarda troublé et ordonna à plusieurs hommes de me tenir,j'étais peut être "stoïque" mais je comprenais ses paroles et on peut dire qu'elles me faisaient assez plaisir ! Comment je pouvais avoir plaisir en ce moment même,le sang coulait devant moi,comme si j'étais dans une morgue et l'odeur de pourri empestait les couloirs et les salles,on aurait pu se croire dans un cimetière ou en pleine scène de guerre mais non...tous ces endroits barricadés,par des barreaux,cet odeur de sang et de pourriture persistante...non ce n'était pas une prison...c'était un asile psychiatrique que je connaissais grâce à mon père.Il m'y avait un jour emmené,lors d'un de ses boulots et il m'avait dit que cet endroit allait être détruit pour reconstruire un hôpital flambant-neuf mais à mes yeux...ce n'était qu'un bâtiment désaffecté que des ordures utilisaient pour assouvir des expériences.
Je me faisais finalement trainer dans la salle qui m'étais spécialement reversé,les murs n'avaient pas été lavé depuis bien longtemps vu leurs couleurs et toutes les taches de sang qui y était,du sang qui était là depuis des années,à mon avis...cette odeur,c'était assez insoutenable mais je ne pouvais rien faire pour le moment.Je me fis finalement attacher les deux bras avec deux chaines d'un part et d'autre de la salle,me faisant tomber a genoux,j'étais à genoux et je devais rester comme ça ou debout pour ne pas trop souffrir.Un homme s'approcha alors de moi,avec un sourire innocent,me faisant avaler des médicaments,et bien,ils s'étaient préparés a ma venue ou quoi ? Bah tant pis pour eux,ça n'allait rien changer tout compte fait,un homme face à moi...ses yeux rouges me regardant avec haine...peut être quelqu'un que je connais...ou...je ne sais plus en fait...finalement ? Des doigts se posent sur mes joues,me faisant les regarder...et bien...on peut dire que avec de l'humour....je suis fais comme un rat et...que ça risque d'être dur de sortir.
[2 ans après de nombreuses tortures et drogues ingurgitées,n'ayant donné aucuns résultats : Pleine scène de torture]
Je me balançais d'avant en arrière,ayant pris l'habitude des coups et des douleurs, je n'avais jamais crié depuis ces deux ans,en fait,je n'avais plus parler pour tout dire...j'avais perdu la notion du temps,je ne me rappelais plus quel jour on était,quel saison.Faisait il beau dehors ? Ou bien froid comme papa l'aimait tellement quand on s'amusait tous les trois dans la neige,tous les trois ? Bah bien evidemment,moi,papa et Vergil,ça faisait même longtemps que je ne l'avais pas vu et je pensais bien que il avait disparu en fait,ne voulant plus jamais me revoir...c'est dommage,je ne peux pas dire que je le détestais...il m'aidait tout le temps,c'est surement pour ça qu'il ne voulait plus me voir.Peut être aussi parce que je n'ai pas réussi a sauver maman à temps...enfin à quoi bon réfléchir...tous les coups que je m'étais pris ne s'effaceraient que avec l'age et encore...il me faudrait cesser d'avoir une humanité pour ça.Et ça...c'est absolument hors de question ! La même question restait dans ma tête,se répétant sans cesse "Qui es tu ? Comment t'appelles tu ? Quel est ton nom ?!" et tout ça...ça ne me faisais rien.
Tout à coup,j'entendis un cri comme si on ne voulait pas qu'on s'approche de quelqu'un et du sang gicla alors sur la porte,nous pouvions le voir et une tête frappa la vitre ensanglanté,un visage horrifié s'étant dessiné.Un homme s'approcha alors de la porte et de la vitre pour voir,ne voyant absolument rien et je pu voir un katana s'enfoncer dans son crane,ayant transpercé la vitre et le crane de quelqu'un...la mort était enfin venu me sortir d'ici ? Et bien,je ne sais pas mais la porte s'ouvrait lentement,laissant l'homme accrocher au katana,me retrouvant face à face avec un homme...cet homme ?! Je le regardais alors avec les larmes aux yeux...9 ans que je l'avais pas vu....et son nom ? C'était Vergil Sparda,mon frère jumeau,il avait toujours le même visage que moi...sauf que moi,j'étais frappé a de nombreux endroits et je saignais sur tout mon corps.Finalement je le vis se diriger vers les chaines et m'enlever,posant mes deux pistolets et Rebellion face à moi...et aussi...un magnifique manteau neuf et rouge,comme il le savait si bien...ça faisait du bien de voir l'extérieur un peu.
-Tiens...ça fais longtemps qu'on ne s'était pas vu...hein Vergil ?
Je me levais alors et je voyais qu'il avait disparu,je m'essuyais les yeux,étant surpris et regardais alors autour de moi,ne le voyant pas,je me levais difficilement et me mettais a marcher vers le couloir,ayant tout de même pris toutes mes armes avec moi...c'était bizarre mais cette fois...l'odeur de sang était moins insupportable,pendant que je marchais jusqu'à la limite entre les deux,voyant leurs bras s'approcher de moi assez faibles...j'étais fatigué de les entendre crier tout le temps,c'est à ce moment là,que j'étendis mes bras,les visant tous autant qu'ils étaient,regardant un peu en hauteur pour voir quelque chose.Je les vis alors reculer,ayant pris mes deux flingues,ils étaient chargés comme dans le bon vieux temps,j'entendais les "gémissements"...je m'étais promis de sortir seul quand je serais enfin libre mais tout ça....c'était il y a deux ans...en deux ans...trop d'eau à coulé entre les ponts...il est temps.Je tirais alors sur le dispositif qui se trouvait sur le plafond de chaque côté ouvrant les grilles,doucement mais surement,les délivrant enfin de cet enfer d'acier....ça faisais bien longtemps que ils en rêvaient.
Je me dirigeais alors vers l'ascenseur qui se trouvait au bout du couloir,il y avait aussi des escaliers mais je n'avais pas envie de descendre comme ça pour une fois...me reposer dans un ascenseur,c'était le mieux après deux années sans avoir pu réellement marcher...mais en ayant quand même pu me muscler grâce a leurs chaines.Je me retournais alors,les voyant tous ses rassembler pour me faire un dernier adieu,levant leurs mains pour me faire un simple signe.Un sourire se forma finalement sur mon visage qui était durant tout ce temps si dur,les remerciant de m'avoir donné le courage de survivre.Je vis finalement un homme se rapprocher de moi pour me serrer la main,chose que je fis sans gênes et j'appuyai alors sur le bouton rez de chaussé le voyant me regarder tout gêné,ayant envie de me poser une question mais n'osant pas ouvrir la bouche pour me demander l'information qui le titillait depuis ces deux longues années.
-Je...Je voulais juste savoir...qui êtes vous ?
-Moi ? On m'appelle souvent Dante mais en fait je m'appelle... Sparda.....Dante Sparda
DERRIÈRE L'ECRAN
NOM/SURNOM ? Stephane ! ÂGE : 19 ans COMMENT T'ES ARRIVE LA ? NINJA ! LE CODE :
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