Satô Ivy Bébé

Natsuko

about You ♥ 17 ans ♣ Hétérosexechaussette ♣ Sportif Life is a Joke...I'll be the Joker 3 Qualités 3 Défauts . Généreuse. Sportive. Sociale. Têtue. Tête brûlée. Colérique.

" Au premiers abords,je dirais une putain de perche. Un mètre septante-huit, soixante kilogrammes. Puis, si je m'avance un peu, je vois une bimbo. Une poitrine dont elle ne veut pas, des fesses qu'elle n'a jamais désiré. Et si je m'approche encore plus près du miroir, je fixe alors une rousse au visage fin mais buté. Un visage plein d'envie, d'ambition, de franchise. Ce visage qui est le mien, je l'ai gagné après être passé par le côté brimé du vilain petit canard. Je n'avais pas d'ami, car j'étais ronde. J'étais plate, les yeux bouffis cachés derrière d'énormes lunettes et des cheveux indomptés de couleur chocolat. J'avais en plus un affreux sourire métallique, car mes dents étaient trop en avant. Oui. J'avais tout de celle que l'on brime, que l'on maltraite, le bouc émissaire, la vilaine petite Ivy qui portait un deuxième prénom ridicule. Celle qu'on enferme dans une salle de classe, celle que l'on frappe, pour le plaisir de la voir pleurer. On lui volait ses lunettes, on lui crachait dessus. On se moquait sans cesse de la petite grosse que j'étais. Mais la vie était apparemment redevable envers moi, car l'adolescence, au lieu de m'enlaidir, de m'offrir ce qu'elle offre comme cadeau de bienvenue, m'a offert tout ce que je n'ai jamais eu, tout ce que la vie m'aura toujours refusée. Et c'est ainsi qu'aujourd'hui, ce que je vois dans la glace, n'a plus rien à voir avec le vilain petit canard. Bien que je n'accepte que peu ce corps qu'il m'a offert, je ne suis pas mécontente de pouvoir faire un pied de nez à tous mes anciens bourreaux. Ainsi, aujourd'hui, je mesure un mètre septante-huit pour un poids inchangé de soixante kilogrammes. Un seul mot d'ordre pour garder le corps que j'ai : SPORT et NOURRITURE SAINE. C'est grâce à cela que je peux me vanter d'avoir ce ventre plat et ces jambes musclées. Par contre, je me passerais bien de cette poitrine trop généreuse et de ces fesses trop rebondies. Mais on ne peut pas tout avoir dans la vie...
Que vois-je ? Encore ? Une tignasse rousse. Je les colore maintenant. J'aime bien la forme qu'ils ont, j'aime bien cette frange étrange avec cette longue mèche sur le côté. D'ailleurs, mes lèvres pleines ont cachent maintenant un sourire immaculé et droit. Mais j'ai toujours un fil de fer qui passe derrière mes dents d'en haut et celles d'en bas. Il ne se voit pas, si on ne fait pas plus attention. J'ai de grands yeux, de couleur Ambre. C'est étrange comme couleur, mais je ne me suis jamais posé de questions...pour ce qui est du reste, regardez moi et faites vous à l'idée que je ne changerai jamais plus..."

"OUPS ! Je déteste juste ce point. Parler de son caractère c'est livrer ses faiblesses aux autres. Enfin bon...ce n'est pas comme si j'étais faible si ? Donc...que dire. Ou plutôt, par où dois-je commencer ? Je suis ce que l'on appelle communément "Une vraie pile électrique" dans le milieu médicale, l'on parle D'hyperactivité" Mais attention, je ne suis pas du genre à parler super vite, bouger dans tous les sens ou que sais-je. Non c'est plus de l'hyperactivité dans la vie de tous les jours. Je ressens sans cesse le besoin de découvrir de nouvelles expériences. Et, en vraie tête brûlée, je ne recule devant rien. Saut à l'élastique, en parachute, marathon dans le plus simple appareil...ouais. Je suis une véritable adepte du "cap pas cap" car après tout...je suis toujours cap ! Je suis née comme ça. Malgré mes atouts féminins, ma gueule de rouquine bornée, butée et limite boudeuse, je parais être ce que je ne suis pas réellement. Alors que l'on s'imagine être devant l'enfant gâtée, la gosse de riche qui a parcouru le monde, la petite madame "Je-sais-tout" du coin, l'on se rend vite compte qu'on est en réalité devant une miss bornée, ambitieuse, sportive à l'extrême. A l'extrême, c'est bien le mot. Je ne compte plus le nombre d'activité éparse que je fais en dehors des cours. Cours que je ne suis qu'à moitié d'ailleurs. Après tout, expliquez moi ce qu'il y a d'intéressant à se poser, cul sur la chaise, crayon en main et écouter un vieux professeurs qui se fou d'être entendu ou non, tant qu'il a son salaire a la fin du mois, déblatérer sur des conneries dont, adulte, on se foutra éperdument. Donc. En tant qu'hyperactive, ne vous attendez vraiment pas à ce que je puisse supporter la pression que cela fou de devoir ne plus bouger et ne plus parler pendant des heures. Me faire mourir d’inanition ? D'ennui ? Une mort lente et douloureuse...on ne peut mieux. Mais en dehors de mon manque d'attention, je parviens tout de même à avoir la moyenne. Ouais. Je ne suis pas non plus stupide. Juste...vite soulée ? Inattentive ? Un truc comme ça. On en vient alors à se demander comment je peux faire pour ne pas avoir de remarque dans mon carnet ou ne pas passer plus de temps dans le bureau du directeur que dans les latrines, mais c'est très simple. Je ne suis simplement pas une fouteuse de trouble. Si je m'ennuie, je me casse. Je ne vais pas rester et embêter mes petits camarades qui ont soif d'apprendre. De plus, je respecte les gens. Même si c'est un professeur...hum.
• Que vous dire de plus ? Vous en demandez encore et je ne vais pas m'arrêter là, au point où j'en suis. En dehors des cours, je suis une fille assez normale. Si être une Nerd est normal pour une fille. Le lasergame, paintball et autres j'adore. Je lis beaucoup de comics, inconditionnelle des grands classiques. Mon comportement inquiète parfois, surtout les plus puritains qui pensent qu'une fille ce doit d'être coquette...je le suis...mais pas comme je le devrais d'après la "norme". Norme. Un mot qui m'inquiète plus qu'il ne m'attire. Serais-je alors une anarchiste sans le côté violence ? Probable. Serais-je aussi une douce rebelle sans le côté légèrement égoïste ? Probablement oui. Mais une chose est sûre, aussi sûre que mon second prénom est aussi ridicule que "Bébé", avec moi, on ne s'ennuie jamais. Car si ennui rime avec votre vie, rencontrer Ivy c'est permettre à ce mot d'être anéanti !
  

Il tire et c'est le goaaaaaaallll !!! He ouais. Comme tous, je suis le spermatozoïde numéro 54. Celui qui a attendu tel le lâche que tous aillent ce faire péter le cornet contre une ovule après avoir passer les fameuses épreuves de merde qui font que l'on se demande comment l'être humain arrive à être si con alors qu'à la base, il est quand même passé àtravers le filet de la sélection naturelle. En voyant certains, que l'on arrête de me dire que la nature est bien faite. Donc. Fameux spermatozoïde originaire des testicules d'un irlandais, je me suis faufilé telle la winneuse (il est laid ce mot) entre les autres spermatozoïdes, ait passé le filet, les poils et tout le tralala pour aller attendre sur les kamikazes et HOP neuf mois plus tard, je nais. Mais attention. Le hop, c'est pour faire genre. Ma mère à pas fait HOP et expédié le bébé. Non non...Elle a du passé par les neuf longs mois de changement d'état, du genre un schizo borderline avec une tendance au lunatisme aimant par dessus le marché les cornichons au chocolat saupoudrer de piment. Elle a dut supporter les interminables allé retour aux toilettes, ce qui est charmant si l'on sait qu'elle vivait dans un château avec des centaines de marches sans ascenseur au fin fond de l'Irland. Elle a passé cinq mois avec un corps de baleine, quatre mois arepeindre une chambre en rose et trois à pleurer sur son sort. Les hormones. Deux à supporter un mari qui stressait à mort et un mois à
paniqué à chaque petite contraction. Deux allers retour dans un hôpital de pétaouchnok pour rien et enfin, près de 24heures à hurler pendant qu'une grognasse diplômée lui demandait "Sur une échelle de 1 à 10 ou se situe votre douleur" et ensuite, près de 8 heures à pousser pour extirper un bébé de 4 kilo 5 pour 53 centimètres. Abusé. Je crois donc que le fait de m'avoir donné comme prénom Bébé était une sorte de vengeance. Vu ainsi, je lui en veux moins. Mais je ne me pleins pas, mon premier prénom est celui de ma grand-mère, Ivy Birdy Pénélope, que j'ai minimiser en Ivy.

Donc voilà les circonstances dans lesquelles je suis née. Née pour régner...je bad là. Alors ma maman et mon papa, Yumiyo Sâto et Allister McKaugley, m'ont eu moi, pour leur plus grande joie. Ils n'auraient pas voulu d'un fils, qu'ils disent, car les garçons n'apportent que des ennuis. Mais étaient-ils au courant qu'ils avaient engendré un être femelle d'apparence mais mâle en intérieure ? Je crois pas qu'ils savaient. Sinon ils se seraient directement débarrassé de moi. So. Comme je ne suis pas née en Chine, je n'ai pas été noyée. (Affreux ce que je dis ? Monstre ? Je ne fais que rapporter de faits réels). J'ai eu une enfance passablement rose. Peut-être trop d'ailleurs, du fait, déjà, que ma mère continuait de m'appeler Bébé alors que mon père lui disait que c'était plus Ivy BirdyPénélope, mais aussi parce qu'elle se bornait à m'acheter des trucs roses, dans une chambre rose, avec des meubles roses et un lit a baldaquin, vous l'aurez deviné...rose. Une vie de château et c'est pas pour faire "style" je me la joue princesse, car malheureusement, j'en suis une par le biais de mon père. Donc une vie de château dans un putain de château en Irland. Ma mère ne travaillait pas et papa...ben...j'ai jamais vraiment su ce qu'était son job. Quand j'eus 7ans, et alors là, je vais tomber dans le méga-cliché-delamortquitue, ayant les dents de travers et louchant, j'ai eu droit au grillage et aux grosses lunettes style cul de bouteille pas portable. Avec mes nattes, je ressemblais assez au laideron que l'on voit dans chaque école. J'étais une géante boulotte en plus, pour mon âge. Donc laissez tomber le côté "So cuuute" ou alors comme le dirait mes camarades nippons "Kawaiiiii deeeessss" A grand renfort de KYA KYA KYA. Ouep. Un laideron donc. Boule de gras, une tête d'ampoule première de classe que personne peut blairer. Et cet épisode très bad à duré environ deux ans. Car après, pour mes 9 ans, je me suis vue affublée d'une violence inouïe. A force de me faire prendre comme bouc émissaire, je peux vous dire que ça fait beaucoup de gueule à exploser à coup de petite chaussure cirée noire qui faisait alors partie de l'uniforme de mon école privée. Et c'est de là que tout commence.

J'étais devenue la petite dure de cette école de fille. Même les mecs de l'école privée pour mec me respectaient tant ils avaient peur du vilain petit canard qui se prenait pour Tyson. Et puis. J'étais plus grande que la plupart d'entre eux. Alors il y avait de quoi flipper. Même moi j'aurais eu peur de moi si vous voyez ce que je veux dire. J'étais donc la dure de l'école. Celle qui fait pleurer les gens à la sortie, celle qui tape, mord, griffe. Celle que l'on fuit comme la peste dés qu'elle arrive, celle qui fait que une fois adulte, on devient un être plein de rancœur coincé dans cet épisode de merde. Et oui. Difficile de croire que celle qui avait un sourire d'acier et des binocles avec d'affreuses couettes, savait cogner. La douleur de mes camarades faisaient mon bonheur. Je leur faisait payer tout ce que j'avais endurer pendant près de deux ans. Mes parents passaient plus de temps dans le bureau de la direction que dans les latrines c'est dire combien j'étais un élément perturbateur. Et ce qui énervait le plus, c'est que malgré ma rébellion, malgré ma
violence et le fait que je sèche de plus en plus les cours, je restais première de classe dans mes notes. J'ai donc eu droit, dés l'âge de 10 ans, à des séances chez un psy qui ne sert strictement à rien à pars vous faire voire des tâches d'encre en vous demandant ce que vous avez ressenti a ce moment là. Des psy qui n'en finissaient plus. Aucun d'eux ne savaient d'où me venait ma violence, car après tout, j'étais une enfant plutôt équilibrée dotée d'une intelligence assez incroyable. Donc dernier recours, test de QI. Super. Deux heures à remplir des ronds
pour expliquer pourquoi Gabriel est le père de Francis mais pas celui de Francine qui pourtant est la sœur de...blablabla. Sentence, j'ai un QI largement en-dessus de la moyenne. D'où mes notes extraordinaire tout en étant une délinquante. Car oui. Vers mes onze ans, faire mal ne me suffisait plus. J'usais des poings et des paroles pour faire pleurer et régner sur mon école et pourquoi pas sur celle d'à côté.

Mais ce règne ne dura pas beaucoup plus. Car deux ans après, j'avais 13 ans, mes parents se sont dit qu'il fallait trouver quelque chose pour que je me défouler. Le sport ? Pourquoi pas...mais pensaient ils que ce virement dans ma vie allait être quelque chose de tellement énorme que j'allais y prendre un goût que l'on pourra qualifier de maladif. Mais c'était le seul moyen que j'avais de me sentir vivre. Et aujourd'hui, c'est toujours la même. Je passe plus de temps à faire du sport qu'à faire toute autre choses qui auraient put être de près...ou de loin, intéressantes à faire et explorer...Je ne sais si un jour je décrocherai...vraiment...peut-être que je devrais faire une cure de désintox' ça existe pour le sport ???

Voilà...pardon, je n'ai jamais été très douée pour raconter des histoires...et le serai probablement jamais. Alors j'ai fait au mieux ._.

• Comment avez vous connu le forum :Quelle excellente question ._. jm'en rappelle plus ><
  
• Votre age : 21 ans
  
• Le Code : Validay By Date
  

Welcome !

N'oublie pas le code ! Bonne continuation pour la suite de ta fiche :3'

Biiiienvenue ♥